Certaines activités ménagères notamment la lessive, la vaisselle, la cuisine, ou puiser de l'eau, nettoyer la maison et bien d'autres sont réservées rien qu'aux filles. Depuis longtemps, dans certaines contrées au sud du pays, les garçons n'accèdent pas à la cuisine, au nom de la tradition.
C'est pourquoi certains garçons sont nuls dans le domaine de la gastronomie. Une situation qui encourage en grande partie l’inégalité entre les filles et les garçons. Toutefois, dans certaines familles, les mères sont strictes avec les garçons dans les travaux ménagers.
Cependant, Irène Yayam, une mère de trois garçons et une fille, qui ne tolère pas cette pratique décrire sa situation : « je suis obligé d'imposer à mes garçons de nettoyer la maison, de leur faire puiser de l'eau et les envoyer au marché. Bien que leur père me dit souvent que dans son village, un garçon ne touche pas au balaie, ni à la marmite ».
Contrairement dans d'autres foyers, ce sont les filles qui s'occupent des activités ménagères et les garçons se détendent, tranquillement dans la rue. C'est le cas de Noël Riabé, un père de famille très conservateur qui chez lui un garçon ne met pas pieds dans une cuisine, « c'est ce qu'on nous a appris, depuis toujours, les filles sont à la cuisine avec leur mère et le garçon assied à côté de son père », explique-t-il.
De ce point de vue, on s'interroge, comment doit-on lutter contre la question d'inégalités de genre, si on favorise les garçons par rapport aux filles, sur la question des travaux ménagers ? Bien qu'une fille est élevée pour devenir une bonne mère et un garçon pour devenir chef de famille. Est-ce qui peut empêcher un garçon à ne s'occuper des travaux ménagers ? Cette réalité reflète l'éducation reçue par les couples.
Au fait, pour faire face à ce phénomène, le point de départ doit commencer au sein des foyers. Le garçon et la fille doivent être traités égalitairement, sur la question des tâches domestiques.
Comme en témoigne Harouna Djedé, un père de famille exemplaire habite le quartier Chagoua dans le 7ème arrondissement, « garçon comme fille doivent faire la cuisine, lessive et vaisselle. Souvent, je prépare à manger à ma femme si elle tombe malade », souligne-t-il.
« Aujourd'hui, beaucoup de garçons souffrent de cette discrimination, surtout, ceux qui ont la chance d'aller faire les études à l'étranger. Qui va leur préparer à manger et nettoyer leur chambre », ajoute-t-il. Toutefois, les tâches domestiques doivent s’accomplir indépendamment du sexe pour limiter l’inégalité entre les filles et les garçons.
Ceci permet à tous deux d'en tirer bénéfice et transmettre cette éducation à leur futur enfant. De nos jours, les travaux domestiques constituent un métier. Les parents doivent plutôt être exemplaires, dans l'éducation de leur enfant, sans parti pris. Ceci est une gage d'une génération future
C'est pourquoi certains garçons sont nuls dans le domaine de la gastronomie. Une situation qui encourage en grande partie l’inégalité entre les filles et les garçons. Toutefois, dans certaines familles, les mères sont strictes avec les garçons dans les travaux ménagers.
Cependant, Irène Yayam, une mère de trois garçons et une fille, qui ne tolère pas cette pratique décrire sa situation : « je suis obligé d'imposer à mes garçons de nettoyer la maison, de leur faire puiser de l'eau et les envoyer au marché. Bien que leur père me dit souvent que dans son village, un garçon ne touche pas au balaie, ni à la marmite ».
Contrairement dans d'autres foyers, ce sont les filles qui s'occupent des activités ménagères et les garçons se détendent, tranquillement dans la rue. C'est le cas de Noël Riabé, un père de famille très conservateur qui chez lui un garçon ne met pas pieds dans une cuisine, « c'est ce qu'on nous a appris, depuis toujours, les filles sont à la cuisine avec leur mère et le garçon assied à côté de son père », explique-t-il.
De ce point de vue, on s'interroge, comment doit-on lutter contre la question d'inégalités de genre, si on favorise les garçons par rapport aux filles, sur la question des travaux ménagers ? Bien qu'une fille est élevée pour devenir une bonne mère et un garçon pour devenir chef de famille. Est-ce qui peut empêcher un garçon à ne s'occuper des travaux ménagers ? Cette réalité reflète l'éducation reçue par les couples.
Au fait, pour faire face à ce phénomène, le point de départ doit commencer au sein des foyers. Le garçon et la fille doivent être traités égalitairement, sur la question des tâches domestiques.
Comme en témoigne Harouna Djedé, un père de famille exemplaire habite le quartier Chagoua dans le 7ème arrondissement, « garçon comme fille doivent faire la cuisine, lessive et vaisselle. Souvent, je prépare à manger à ma femme si elle tombe malade », souligne-t-il.
« Aujourd'hui, beaucoup de garçons souffrent de cette discrimination, surtout, ceux qui ont la chance d'aller faire les études à l'étranger. Qui va leur préparer à manger et nettoyer leur chambre », ajoute-t-il. Toutefois, les tâches domestiques doivent s’accomplir indépendamment du sexe pour limiter l’inégalité entre les filles et les garçons.
Ceci permet à tous deux d'en tirer bénéfice et transmettre cette éducation à leur futur enfant. De nos jours, les travaux domestiques constituent un métier. Les parents doivent plutôt être exemplaires, dans l'éducation de leur enfant, sans parti pris. Ceci est une gage d'une génération future