486 sacs de riz, 103 sacs de maïs, soit un total de 589 sacs au total, ainsi que 14 bidons d'huile de 20 litres ont été saisis des mains de certains commerçants de la ville de Kyabé par les forces de défense et de sécurité. Ces produits étaient destinés à être distribués aux personnes vulnérables de la province du Moyen-Chari, dans le cadre des subventions alimentaires de l'ONASA. Cependant, ces commerçants ont profité de leur position et de la complicité de certaines autorités administratives pour les acheter.
Face à cette situation choquante, le gouverneur de la province du Moyen-Chari, Ousmane Brahim Djouma, a souligné que ces denrées, qui ont été financées par l'État tchadien, doivent être remises aux véritables personnes vulnérables de Kyabé afin qu'elles puissent survivre pendant la période de pénurie alimentaire. Il a également dénoncé le comportement de ces autorités administratives corrompues, les qualifiant d'escrocs de la République qui ne se soucient ni de la population ni de l'intérêt de l'État. Il a clairement affirmé qu'ils n'ont pas leur place dans la province du Moyen-Chari.
Sur place, le gouverneur a mis en place un comité chargé de la distribution de ces denrées et a demandé que les vivres soient distribués gratuitement aux véritables personnes vulnérables de Kyabé. Il a également ordonné aux forces de défense et de sécurité de poursuivre les recherches pour identifier d'autres cas similaires.
Les sous-préfets de Kyabé et de Signako ont été suspendus de leurs fonctions pour complicité dans la vente de ces vivres, tandis que les commerçants coupables ont été remis aux forces de défense et de sécurité pour être interrogés.
Face à cette situation choquante, le gouverneur de la province du Moyen-Chari, Ousmane Brahim Djouma, a souligné que ces denrées, qui ont été financées par l'État tchadien, doivent être remises aux véritables personnes vulnérables de Kyabé afin qu'elles puissent survivre pendant la période de pénurie alimentaire. Il a également dénoncé le comportement de ces autorités administratives corrompues, les qualifiant d'escrocs de la République qui ne se soucient ni de la population ni de l'intérêt de l'État. Il a clairement affirmé qu'ils n'ont pas leur place dans la province du Moyen-Chari.
Sur place, le gouverneur a mis en place un comité chargé de la distribution de ces denrées et a demandé que les vivres soient distribués gratuitement aux véritables personnes vulnérables de Kyabé. Il a également ordonné aux forces de défense et de sécurité de poursuivre les recherches pour identifier d'autres cas similaires.
Les sous-préfets de Kyabé et de Signako ont été suspendus de leurs fonctions pour complicité dans la vente de ces vivres, tandis que les commerçants coupables ont été remis aux forces de défense et de sécurité pour être interrogés.