Le ministère de la Justice, Garde des Sceaux, a organisé une cérémonie de libération des détenus en vertu de l’amnistie, ce mardi 18 janvier 2022 à la Maison d’arrêt de Klessoum, dans le 7ème arrondissement de N’djamena.
Sur les 44 détenus concernés par la loi n°07, 22 ont été identifiés à la Maison d’arrêt et de correction de Klessoum, et par conséquent, bénéficieront des effets de ladite loi, a affirmé le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, le Pr Mahamat Ahmat Alhabo. Pour lui, l’objectif de la condamnation est d’amener la personne détenue à réfléchir sur l’acte délictuel ou criminel pour lequel il est condamné, et à changer de comportement en vue d’une réinsertion sociale digne, responsable et citoyenne.
Il relève que l’élaboration de la politique d’exécution des peines et mesures privatives et restrictives de liberté, ainsi que l’application des mesures de remise de peines, de grâce et d’amnistie, constitue la nouvelle vision des plus hautes autorités, pour contribuer à la paix sociale, à la mise en place d’une justice impartiale, équitable et accessible à tous. Il salue cet acte de pardon car pour lui, il est le gage du rétablissement de la confiance entre les fils et filles du Tchad, et de la paix sociale réclamée.
« A l’issue des contrôles de routine de la population carcérale à la Maison d’arrêt et de correction de Klessoum, il a été relevé qu’un certain nombre de détenus est resté longtemps sans jugement ou sans avoir comparu devant un juge », a-t-il regretté. Le Pr Mahamat Ahmat Alhabo réitère les instructions déjà transmises aux présidents des cours d’appel de Sarh, Moundou, Mongo et Abeché de procéder à la mise en liberté des détenus séjournant dans les maisons d’arrêt, en violation des dispositions du code de procédure pénale.
Le directeur des Établissements pénitentiaires, Djimramadji François a, pour sa part, rappelé que la prison n’est pas une malédiction. En revanche, c’est un lieu de rééducation des personnes en conflit avec la loi et confiées à l’administration pénitentiaire et la réinsertion sociale qui a pour mission principale d’exécuter les décisions judiciaires privatives de liberté dans un environnement sain et sécurisé, en vue d’aider le condamné à redevenir un citoyen respecté de la loi.
Enfin, il a invité les bénéficiaires de liberté de saisir cette opportunité afin de contribuer à l’édification de la cohésion sociale pour le développement du Tchad.
Sur les 44 détenus concernés par la loi n°07, 22 ont été identifiés à la Maison d’arrêt et de correction de Klessoum, et par conséquent, bénéficieront des effets de ladite loi, a affirmé le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, le Pr Mahamat Ahmat Alhabo. Pour lui, l’objectif de la condamnation est d’amener la personne détenue à réfléchir sur l’acte délictuel ou criminel pour lequel il est condamné, et à changer de comportement en vue d’une réinsertion sociale digne, responsable et citoyenne.
Il relève que l’élaboration de la politique d’exécution des peines et mesures privatives et restrictives de liberté, ainsi que l’application des mesures de remise de peines, de grâce et d’amnistie, constitue la nouvelle vision des plus hautes autorités, pour contribuer à la paix sociale, à la mise en place d’une justice impartiale, équitable et accessible à tous. Il salue cet acte de pardon car pour lui, il est le gage du rétablissement de la confiance entre les fils et filles du Tchad, et de la paix sociale réclamée.
« A l’issue des contrôles de routine de la population carcérale à la Maison d’arrêt et de correction de Klessoum, il a été relevé qu’un certain nombre de détenus est resté longtemps sans jugement ou sans avoir comparu devant un juge », a-t-il regretté. Le Pr Mahamat Ahmat Alhabo réitère les instructions déjà transmises aux présidents des cours d’appel de Sarh, Moundou, Mongo et Abeché de procéder à la mise en liberté des détenus séjournant dans les maisons d’arrêt, en violation des dispositions du code de procédure pénale.
Le directeur des Établissements pénitentiaires, Djimramadji François a, pour sa part, rappelé que la prison n’est pas une malédiction. En revanche, c’est un lieu de rééducation des personnes en conflit avec la loi et confiées à l’administration pénitentiaire et la réinsertion sociale qui a pour mission principale d’exécuter les décisions judiciaires privatives de liberté dans un environnement sain et sécurisé, en vue d’aider le condamné à redevenir un citoyen respecté de la loi.
Enfin, il a invité les bénéficiaires de liberté de saisir cette opportunité afin de contribuer à l’édification de la cohésion sociale pour le développement du Tchad.