Au cours d'une rencontre ce 23 août, la tension était perceptible chez les diplômés en attente d'intégration. Les échanges étaient houleux.
Bureau Obed exprime son "satisfecit" pour ce travail des autorités mais estime que les oubliés "ont fait face à la police, inhalé du gaz lacrymogène et ont été torturés quelques fois".
Le collectif estime que son militantisme pour l'intégration des jeunes a "bénéficié à certains qui n'ont jamais mis les pieds dans la rue".
Le collectif des diplômés sans emploi interpelle les autorités : "il y a beaucoup de lésés qui sont restés sur le carreau". Bureau Obed souligne qu'ils ne veulent pas "reprendre avec la logique des manifestations dans la rue" et demande au président de la transition d'agir pour l'intégration des jeunes qui ne sont pas encore intégrés.
Bureau Obed exprime son "satisfecit" pour ce travail des autorités mais estime que les oubliés "ont fait face à la police, inhalé du gaz lacrymogène et ont été torturés quelques fois".
Le collectif estime que son militantisme pour l'intégration des jeunes a "bénéficié à certains qui n'ont jamais mis les pieds dans la rue".
Le collectif des diplômés sans emploi interpelle les autorités : "il y a beaucoup de lésés qui sont restés sur le carreau". Bureau Obed souligne qu'ils ne veulent pas "reprendre avec la logique des manifestations dans la rue" et demande au président de la transition d'agir pour l'intégration des jeunes qui ne sont pas encore intégrés.