L'objectif de cette inspection était d'évaluer la qualité des établissements privés d'enseignement supérieur, conformément au décret numéro 208/PR/PM/MERSRSFP de 2011, en utilisant six critères d'évaluation : la conformité administrative, la qualité de la formation, la gouvernance, les infrastructures et équipements, les partenariats, ainsi que la vie étudiante.
Cette évaluation avait également pour but de s'assurer du respect des dispositions légales, de comparer les établissements privés d'enseignement supérieur à un référentiel existant, inspiré à la fois des normes nationales et du CAMES (Conseil Africain et Malgache pour l'Enseignement Supérieur).
Cette démarche permettait de classer les établissements en fonction de leurs performances académiques et institutionnelles, en prenant en compte l'état des infrastructures, des équipements, de la gestion pédagogique et du personnel. En fin de compte, des recommandations seraient formulées au Ministère de tutelle pour encourager et, le cas échéant, sanctionner les établissements en conséquence.
"Le contrôle et l'évaluation des établissements privés supérieurs ont été un véritable succès, car ils ont permis de distinguer trois types d'établissements : les bons, les moyens et les médiocres. Cette classification ne vise pas à stigmatiser les établissements, mais plutôt à identifier leurs forces et leurs faiblesses afin de mieux les accompagner dans leur développement", a souligné Dr. Tom Erdimi, ministre de l'Enseignement supérieur.
En commençant par 135 établissements en 2013, puis en passant à 75 en 2016, et 65 en 2019, le nombre d'institutions privées a finalement été réduit à 48 en 2023. Parmi ces 48 établissements, 12 sont implantés dans le sud du pays et 10 dans le nord.
Cette évaluation avait également pour but de s'assurer du respect des dispositions légales, de comparer les établissements privés d'enseignement supérieur à un référentiel existant, inspiré à la fois des normes nationales et du CAMES (Conseil Africain et Malgache pour l'Enseignement Supérieur).
Cette démarche permettait de classer les établissements en fonction de leurs performances académiques et institutionnelles, en prenant en compte l'état des infrastructures, des équipements, de la gestion pédagogique et du personnel. En fin de compte, des recommandations seraient formulées au Ministère de tutelle pour encourager et, le cas échéant, sanctionner les établissements en conséquence.
"Le contrôle et l'évaluation des établissements privés supérieurs ont été un véritable succès, car ils ont permis de distinguer trois types d'établissements : les bons, les moyens et les médiocres. Cette classification ne vise pas à stigmatiser les établissements, mais plutôt à identifier leurs forces et leurs faiblesses afin de mieux les accompagner dans leur développement", a souligné Dr. Tom Erdimi, ministre de l'Enseignement supérieur.
En commençant par 135 établissements en 2013, puis en passant à 75 en 2016, et 65 en 2019, le nombre d'institutions privées a finalement été réduit à 48 en 2023. Parmi ces 48 établissements, 12 sont implantés dans le sud du pays et 10 dans le nord.