Des jeunes hommes sont soupçonnés d'avoir tenté de kidnapper un enfant âgé d'environ deux ans, en échange de jouets, mais ont été empêchés grâce à la vigilance des adultes présents.
L'incident s'est déroulé le 26 juin 2023, dans le quartier Noungou de la ville de Laï. Ces quatre individus portent tous le même nom : Mahamat Ousmane et sont de nationalité nigériane.
Ils affirment être venus à Laï pour chercher des vieux métaux à revendre au Nigeria, niant toute implication dans le vol d'enfants. Interrogée, la mère de l'enfant a admis avoir constaté la disparition de son enfant, dès son retour du marché aux alentours de 10 heures.
Elle a alors demandé à ses frères aînés où se trouvait leur petit frère, et ils lui ont révélé que l'enfant avait été volé par des voisins étrangers. La mère a immédiatement alerté les autres résidents pour retrouver son enfant.
Informé de la situation, Joseph Lagué, premier adjoint au maire de la ville de Laï, s'est rendu sur les lieux pour constater les faits. Une fois sur place, il a sollicité l'intervention des forces de défense et de sécurité, afin d'appréhender les suspects impliqués dans cet acte.
À la brigade, l'un des présumés coupables, interrogé, prétend d'abord être un Tchadien de père nigérian. Il affirme être né et avoir grandi à Guelendeng, dans le Mayo Kebbi Est. Il nie les accusations portées contre lui, affirmant qu'elles sont fausses, et propose de jurer sur le Saint Coran.
En attendant que la justice puisse faire son travail, le colonel Mahamat Idriss Nar-nil, commandant adjoint de la légion n° 14 de Gendarmerie nationale de la Tandjilé, appelle à la vigilance des parents. Par ailleurs, il demande à la population de signaler toute présence de personnes étrangères à la brigade ou au commissariat, afin de démanteler les réseaux de ces criminels.
L'incident s'est déroulé le 26 juin 2023, dans le quartier Noungou de la ville de Laï. Ces quatre individus portent tous le même nom : Mahamat Ousmane et sont de nationalité nigériane.
Ils affirment être venus à Laï pour chercher des vieux métaux à revendre au Nigeria, niant toute implication dans le vol d'enfants. Interrogée, la mère de l'enfant a admis avoir constaté la disparition de son enfant, dès son retour du marché aux alentours de 10 heures.
Elle a alors demandé à ses frères aînés où se trouvait leur petit frère, et ils lui ont révélé que l'enfant avait été volé par des voisins étrangers. La mère a immédiatement alerté les autres résidents pour retrouver son enfant.
Informé de la situation, Joseph Lagué, premier adjoint au maire de la ville de Laï, s'est rendu sur les lieux pour constater les faits. Une fois sur place, il a sollicité l'intervention des forces de défense et de sécurité, afin d'appréhender les suspects impliqués dans cet acte.
À la brigade, l'un des présumés coupables, interrogé, prétend d'abord être un Tchadien de père nigérian. Il affirme être né et avoir grandi à Guelendeng, dans le Mayo Kebbi Est. Il nie les accusations portées contre lui, affirmant qu'elles sont fausses, et propose de jurer sur le Saint Coran.
En attendant que la justice puisse faire son travail, le colonel Mahamat Idriss Nar-nil, commandant adjoint de la légion n° 14 de Gendarmerie nationale de la Tandjilé, appelle à la vigilance des parents. Par ailleurs, il demande à la population de signaler toute présence de personnes étrangères à la brigade ou au commissariat, afin de démanteler les réseaux de ces criminels.