
À N'Djamena, les avis de recherche de mineurs sont devenus un phénomène récurrent et préoccupant. Chaque jour, des annonces de disparitions d'enfants circulent sur les réseaux sociaux, signalant qu'un enfant est sorti de chez lui sans donner de nouvelles, et n'est jamais rentré depuis plusieurs jours.
Cette situation découle souvent du manque de surveillance de certains parents. Certaines mères, absorbées par des séries télévisées comme celles diffusées sur la chaîne Zee-Alwan, ou encore trop prises par les réseaux sociaux tels que TikTok, Facebook ou WhatsApp, ne prêtent pas suffisamment attention à leurs enfants.
Dans de telles circonstances, les enfants se sentent libres de se déplacer sans aucune restriction, ce qui les met en danger. Halima Haroun, âgée de 73 ans et mère de sept enfants, évoque le passé : « autrefois, il était interdit aux enfants de jouer dans la rue, ou de se déplacer d’un quartier à un autre sans surveillance ».
Elle souligne que chaque ethnie avait des signes distinctifs, tels que des scarifications, qui permettaient d’identifier un enfant égaré et de le renvoyer à sa famille. Aujourd'hui, avec l’avancée de la technologie et le relâchement parental, les enfants errent d’un quartier à l’autre, sans surveillance, comme s'ils étaient des enfants de la rue.
Face à cette situation, Halima lance un appel aux mères, les exhortant à envoyer leurs enfants à l’école, à les suivre au quotidien, et à les encourager à se concentrer sur leurs études. « Ces enfants sont les futurs cadres de demain, et le Tchad aura besoin de leurs compétences, de leur force et de leur courage pour bâtir une nation forte et prospère », conclut-elle avec espoir.
Cette situation découle souvent du manque de surveillance de certains parents. Certaines mères, absorbées par des séries télévisées comme celles diffusées sur la chaîne Zee-Alwan, ou encore trop prises par les réseaux sociaux tels que TikTok, Facebook ou WhatsApp, ne prêtent pas suffisamment attention à leurs enfants.
Dans de telles circonstances, les enfants se sentent libres de se déplacer sans aucune restriction, ce qui les met en danger. Halima Haroun, âgée de 73 ans et mère de sept enfants, évoque le passé : « autrefois, il était interdit aux enfants de jouer dans la rue, ou de se déplacer d’un quartier à un autre sans surveillance ».
Elle souligne que chaque ethnie avait des signes distinctifs, tels que des scarifications, qui permettaient d’identifier un enfant égaré et de le renvoyer à sa famille. Aujourd'hui, avec l’avancée de la technologie et le relâchement parental, les enfants errent d’un quartier à l’autre, sans surveillance, comme s'ils étaient des enfants de la rue.
Face à cette situation, Halima lance un appel aux mères, les exhortant à envoyer leurs enfants à l’école, à les suivre au quotidien, et à les encourager à se concentrer sur leurs études. « Ces enfants sont les futurs cadres de demain, et le Tchad aura besoin de leurs compétences, de leur force et de leur courage pour bâtir une nation forte et prospère », conclut-elle avec espoir.