Une cérémonie qui selon le coordonnateur Casimir Ndoloum intervient après l'organisation de la 12ème édition du concours qui s'est déroulée en septembre. Des chantiers énormes attendent l'institution et pas des moindres comme « promouvoir une documentation OHADA et des publications qui doivent se faire dans le temps », a indiqué le coordonnateur.
Initiatives « sources de bénédictions et qui annoncent les débuts des semailles qui doivent prendre avant la fin des premières pluies", affirme Casimir Ndoloum avec enthousiasme.
L'urgence de lancer les activités s'impose donc à l'OHADA, a expliqué son coordonnateur. Ce d'autant plus que ces activités s'inscrivent dans les objectifs que s'est assigné le CADOT à savoir ériger un club OHADA à l'université de N'djamena, promouvoir des formations professionnelles et universitaires spécialisées dans les œuvres de la création des cadres de promotion et de vulgarisation du droit, a renseigné Casimir Ndoloum.
L'OHADA s'intègre en milieu professionnel universitaires à travers des initiatives comme le concours "Génie en herbes". Ce concours sera ajouté à d'autres actions de planification d'envergure ainsi que des activités traditionnelles telles que la présélection au concours national et international. Une ambition qui fonde la stratégie du CADOT.
Aux deux clubs institués, Casimir Ndoloum a prescrit de s'inspirer de la devise du CADOT : compétence, responsabilité et dynamisme pour forger leurs ambitions personnelles et associatives en matière de recherche et de connaissance sur l'OHADA. Et ce, afin de construire "des compétences transfrontalières".
En remettant quelques ouvrages de l'OHADA aux étudiants, le coordonnateur les a appelés à voir ce geste comme "une invitation à développer un intérêt pour la recherche" car, a-t-il ajouté, "leur travail est d'étudier".
La cérémonie à laquelle a pris part l'ancien procureur de la République près du parquet d'instance de N'djamena, Youssouf Tom, s'est achevée par la remise de quelques dons aux étudiants de l'université de N'djamena.
Initiatives « sources de bénédictions et qui annoncent les débuts des semailles qui doivent prendre avant la fin des premières pluies", affirme Casimir Ndoloum avec enthousiasme.
L'urgence de lancer les activités s'impose donc à l'OHADA, a expliqué son coordonnateur. Ce d'autant plus que ces activités s'inscrivent dans les objectifs que s'est assigné le CADOT à savoir ériger un club OHADA à l'université de N'djamena, promouvoir des formations professionnelles et universitaires spécialisées dans les œuvres de la création des cadres de promotion et de vulgarisation du droit, a renseigné Casimir Ndoloum.
L'OHADA s'intègre en milieu professionnel universitaires à travers des initiatives comme le concours "Génie en herbes". Ce concours sera ajouté à d'autres actions de planification d'envergure ainsi que des activités traditionnelles telles que la présélection au concours national et international. Une ambition qui fonde la stratégie du CADOT.
Aux deux clubs institués, Casimir Ndoloum a prescrit de s'inspirer de la devise du CADOT : compétence, responsabilité et dynamisme pour forger leurs ambitions personnelles et associatives en matière de recherche et de connaissance sur l'OHADA. Et ce, afin de construire "des compétences transfrontalières".
En remettant quelques ouvrages de l'OHADA aux étudiants, le coordonnateur les a appelés à voir ce geste comme "une invitation à développer un intérêt pour la recherche" car, a-t-il ajouté, "leur travail est d'étudier".
La cérémonie à laquelle a pris part l'ancien procureur de la République près du parquet d'instance de N'djamena, Youssouf Tom, s'est achevée par la remise de quelques dons aux étudiants de l'université de N'djamena.