L'événement s'est déroulé à la Maison Nationale de la Femme et s'inscrit dans le cadre du projet visant à soutenir les enfants en situation difficile dans la ville et ses environs. Cette édition de la Journée de l'Enfant Africain 2023 avait pour thème "Les droits de l'enfant dans l'environnement numérique : entre risques et opportunités. Mobilisons-nous pour la protection des droits de l'enfant à l'ère digitale".
Dans son discours, la cheffe de mission de COOPI a exprimé sa satisfaction d'être présente lors de cette célébration, qu'elle a qualifiée de journée spéciale dédiée aux enfants. Elle a souligné que les enfants sont au cœur du travail et de l'engagement de chacun et représentent l'espoir d'un avenir meilleur pour le Tchad et le monde entier. Elle a également rappelé que cette journée devait être à la fois un moment de détente pour les enfants et une occasion de réflexion pour les adultes membres des communautés éducatives.
Lors de son allocution, Adoumkidjim Naïban, représentant du président de l'Union des Associations de Protection de l'Enfance au Tchad (UAPET), a rappelé à l'assistance que cette journée commémore les événements du 16 juin 1976 à Soweto, en Afrique du Sud. Les enfants ont été massacrés par la police raciste du régime de l'apartheid alors qu'ils réclamaient leur droit à une éducation de qualité. Le régime en place proposait une éducation dans une langue maternelle qui n'était pas adaptée aux besoins scientifiques. Ce mouvement pacifique de revendication des droits a été violemment réprimé dans le sang, a-t-il souligné. Il a ensuite rappelé l'importance de ne pas oublier ces événements et a encouragé à créer des occasions pour que de telles tragédies ne se reproduisent plus jamais. Adoumkidjim Naïban a souligné que l'histoire persiste et se répète si rien n'est entrepris pour la changer.
La journée a été animée par des chansons, des danses et un sketch réalisés par les enfants. Cette initiative a bénéficié du soutien financier de l'Union européenne.
Dans son discours, la cheffe de mission de COOPI a exprimé sa satisfaction d'être présente lors de cette célébration, qu'elle a qualifiée de journée spéciale dédiée aux enfants. Elle a souligné que les enfants sont au cœur du travail et de l'engagement de chacun et représentent l'espoir d'un avenir meilleur pour le Tchad et le monde entier. Elle a également rappelé que cette journée devait être à la fois un moment de détente pour les enfants et une occasion de réflexion pour les adultes membres des communautés éducatives.
Lors de son allocution, Adoumkidjim Naïban, représentant du président de l'Union des Associations de Protection de l'Enfance au Tchad (UAPET), a rappelé à l'assistance que cette journée commémore les événements du 16 juin 1976 à Soweto, en Afrique du Sud. Les enfants ont été massacrés par la police raciste du régime de l'apartheid alors qu'ils réclamaient leur droit à une éducation de qualité. Le régime en place proposait une éducation dans une langue maternelle qui n'était pas adaptée aux besoins scientifiques. Ce mouvement pacifique de revendication des droits a été violemment réprimé dans le sang, a-t-il souligné. Il a ensuite rappelé l'importance de ne pas oublier ces événements et a encouragé à créer des occasions pour que de telles tragédies ne se reproduisent plus jamais. Adoumkidjim Naïban a souligné que l'histoire persiste et se répète si rien n'est entrepris pour la changer.
La journée a été animée par des chansons, des danses et un sketch réalisés par les enfants. Cette initiative a bénéficié du soutien financier de l'Union européenne.