Cette prise de parole était axée sur plusieurs points distincts. D'abord, le SG est revenu sur le communiqué signé par le directeur de la Scolarité et des Examens, demandant à « tous les anciens étudiants de licence 1, redoublants, licence 2 et licence 3 et les étudiants transférés que les inscriptions et les réinscriptions de l'année 2021-2022 commenceront dès ce lundi 16 mai 2022 et prendront fin le 15 juin 2022 ».
Sur ce point, le SG insiste et interpelle tous les étudiants à s'inscrire dans ce délai, pour qu'ils puissent voir leurs résultats affichés sur la plateforme de l'Université de Ndjamena. Il ajoute que, passé ce délai, il serait difficile d'avoir une quelconque dérogation.
« C’est la raison pour laquelle nous demandons à tous les étudiantes et étudiants de respecter rigoureusement, ce moratoire et de s'inscrire, afin de valider leurs sessions sans aucun souci », poursuit-il. Ensuite, le secrétaire général de l'UNET/Ndjamena se dit en colère, quand il voit, selon lui, « des politicards qui manipulent les étudiants pour leurs intérêts égoïstes ou à des fins purement personnelles ».
Face à cela, il leur demande de se ressaisir. L’Union nationale des étudiants tchadiens, section de l'Université de Ndjamena, demande à tous les étudiants de vaquer régulièrement à leurs études, au lieu de se laisser berner par des faux politiciens qui ne visent qu'à remplir leurs poches et de guetter à avoir un poste de responsabilité.
Par ailleurs, l'UNET exhorte tous les étudiants de laisser tomber le baptême, autrement dit, ce n'est plus le moment de continuer avec cette pratique qui créée des conflits entre étudiants. Le baptême est strictement interdit par le règlement intérieur de l’Université de Ndjamena. Quelques fois, les intimidations verbales aux bleus sont acceptables que de brutaliser la personne de manière sauvage et immorale, et cela est formellement condamné par les textes réglementaires.
Enfin, l’UNET, section de Ndjamena constate « avec des larmes aux yeux, les dysfonctionnements des restaurations des étudiants, dans les trois sites, à savoir Toukra Farcha et Ardeb-Djoumal », il y a quelques jours. C'est pourquoi, « nous interpellons et exigeons la réouverture de nos restaurations dans un bref délai », conclut Yaya Barkaï.
Sur ce point, le SG insiste et interpelle tous les étudiants à s'inscrire dans ce délai, pour qu'ils puissent voir leurs résultats affichés sur la plateforme de l'Université de Ndjamena. Il ajoute que, passé ce délai, il serait difficile d'avoir une quelconque dérogation.
« C’est la raison pour laquelle nous demandons à tous les étudiantes et étudiants de respecter rigoureusement, ce moratoire et de s'inscrire, afin de valider leurs sessions sans aucun souci », poursuit-il. Ensuite, le secrétaire général de l'UNET/Ndjamena se dit en colère, quand il voit, selon lui, « des politicards qui manipulent les étudiants pour leurs intérêts égoïstes ou à des fins purement personnelles ».
Face à cela, il leur demande de se ressaisir. L’Union nationale des étudiants tchadiens, section de l'Université de Ndjamena, demande à tous les étudiants de vaquer régulièrement à leurs études, au lieu de se laisser berner par des faux politiciens qui ne visent qu'à remplir leurs poches et de guetter à avoir un poste de responsabilité.
Par ailleurs, l'UNET exhorte tous les étudiants de laisser tomber le baptême, autrement dit, ce n'est plus le moment de continuer avec cette pratique qui créée des conflits entre étudiants. Le baptême est strictement interdit par le règlement intérieur de l’Université de Ndjamena. Quelques fois, les intimidations verbales aux bleus sont acceptables que de brutaliser la personne de manière sauvage et immorale, et cela est formellement condamné par les textes réglementaires.
Enfin, l’UNET, section de Ndjamena constate « avec des larmes aux yeux, les dysfonctionnements des restaurations des étudiants, dans les trois sites, à savoir Toukra Farcha et Ardeb-Djoumal », il y a quelques jours. C'est pourquoi, « nous interpellons et exigeons la réouverture de nos restaurations dans un bref délai », conclut Yaya Barkaï.