
Les moustiques, habituellement associés à la saison des pluies, ont envahi N'Djamena dès le début de la saison sèche. Ce phénomène étrange soulève des questions, et complique le quotidien des habitants de la capitale tchadienne.
Les moustiques, insectes diptères dont les femelles piquent pour aspirer le sang, sont généralement présents entre mai et novembre, lorsque les pluies créent des environnements propices à leur reproduction.
Cependant, en plein mois de mars, dès 18 heures, des bourdonnements incessants des moustiques envahissent les espaces extérieurs, rendant difficile toute activité sociale, comme discuter ou se détendre, sans l’utilisation de moustiquaires. Ces insectes semblent avoir proliféré plus intensément qu’au cours de la saison froide, un phénomène jugé inhabituel.
La multiplication des moustiques en pleine saison sèche laisse perplexes les habitants. Bien que les pluies soient absentes, certains experts évoquent la possibilité de mares stagnantes créées par des activités humaines, ou encore des conditions environnementales inhabituelles favorisant cette prolifération.
Ces hypothèses restent à confirmer par des études scientifiques plus approfondies. La présence accrue de moustiques perturbe les soirées à l'air libre, forçant les familles à se retrancher dans leurs maisons protégées par des moustiquaires. Cette situation aggrave également les inquiétudes sanitaires, car les moustiques sont souvent porteurs de maladies telles que le paludisme, qui reste une préoccupation majeure au Tchad.
Face à cette situation, les habitants espèrent une réponse rapide des autorités pour identifier les causes de cette prolifération, et mettre en place des mesures préventives. L’assainissement de toute la ville, la sensibilisation de la population et la distribution de moustiquaires imprégnées figurent parmi les solutions envisagées.
Les moustiques, insectes diptères dont les femelles piquent pour aspirer le sang, sont généralement présents entre mai et novembre, lorsque les pluies créent des environnements propices à leur reproduction.
Cependant, en plein mois de mars, dès 18 heures, des bourdonnements incessants des moustiques envahissent les espaces extérieurs, rendant difficile toute activité sociale, comme discuter ou se détendre, sans l’utilisation de moustiquaires. Ces insectes semblent avoir proliféré plus intensément qu’au cours de la saison froide, un phénomène jugé inhabituel.
La multiplication des moustiques en pleine saison sèche laisse perplexes les habitants. Bien que les pluies soient absentes, certains experts évoquent la possibilité de mares stagnantes créées par des activités humaines, ou encore des conditions environnementales inhabituelles favorisant cette prolifération.
Ces hypothèses restent à confirmer par des études scientifiques plus approfondies. La présence accrue de moustiques perturbe les soirées à l'air libre, forçant les familles à se retrancher dans leurs maisons protégées par des moustiquaires. Cette situation aggrave également les inquiétudes sanitaires, car les moustiques sont souvent porteurs de maladies telles que le paludisme, qui reste une préoccupation majeure au Tchad.
Face à cette situation, les habitants espèrent une réponse rapide des autorités pour identifier les causes de cette prolifération, et mettre en place des mesures préventives. L’assainissement de toute la ville, la sensibilisation de la population et la distribution de moustiquaires imprégnées figurent parmi les solutions envisagées.