Installée il y a plus de 30 ans, l'aire d'abattage de Kelo se trouve maintenant en pleine ville. Elle est entourée par des concessions des citoyens, des établissements scolaires, et fait aussi face à la douane.
Dans cette aire d'abattage, on abat par jour plus de 10 bœufs et plus de 60 têtes des chèvres et moutons par jour. Les conditions de travail dans ce site ne sont pas favorables. Le sang des bêtes est stagné dans un grand creux construit et non traité.
Cela dégage des odeurs nauséabondes et met mal à l'aise la population environnante, ainsi que les passants. Le technicien chargé de l'abattoir, Tagoidoum Mbairam Ellison, dit que la position de cette aire d'abattage n'est pas conforme. Car elle se trouve en pleine ville.
Les autorités communales doivent faire de leur mieux pour déloger cette aire d'abattage devant une mare, en attendant l'intervention de l'État pour la construction d'un abattoir digne de son nom. Le secrétaire général du bureau des bouchers, Moussa Mahamat, dit qu'ils sont exposés.
Les conditions d'hygiène ne sont pas respectées. Et les bouchers proposent que la commune puisse entourer la boucherie des grillages, afin d’y stopper l'entrée des chiens et des chats. Et aussi, l’on demande la pulvérisation des tables de boucherie, au moins une fois par semaine.
Enfin, ce qui est urgent, c’est l'implantation de l'aire d'abattage de Kelo en dehors de la ville, afin de permettre à la population environnante de respirer au moins de l'air pur.
Dans cette aire d'abattage, on abat par jour plus de 10 bœufs et plus de 60 têtes des chèvres et moutons par jour. Les conditions de travail dans ce site ne sont pas favorables. Le sang des bêtes est stagné dans un grand creux construit et non traité.
Cela dégage des odeurs nauséabondes et met mal à l'aise la population environnante, ainsi que les passants. Le technicien chargé de l'abattoir, Tagoidoum Mbairam Ellison, dit que la position de cette aire d'abattage n'est pas conforme. Car elle se trouve en pleine ville.
Les autorités communales doivent faire de leur mieux pour déloger cette aire d'abattage devant une mare, en attendant l'intervention de l'État pour la construction d'un abattoir digne de son nom. Le secrétaire général du bureau des bouchers, Moussa Mahamat, dit qu'ils sont exposés.
Les conditions d'hygiène ne sont pas respectées. Et les bouchers proposent que la commune puisse entourer la boucherie des grillages, afin d’y stopper l'entrée des chiens et des chats. Et aussi, l’on demande la pulvérisation des tables de boucherie, au moins une fois par semaine.
Enfin, ce qui est urgent, c’est l'implantation de l'aire d'abattage de Kelo en dehors de la ville, afin de permettre à la population environnante de respirer au moins de l'air pur.