La montée des eaux de crues dans la capitale peut être source de maladies hydriques. Une longue stagnation des eaux, dans les alentours des habitations, expose les familles aux risques de maladies.
Pour éviter les contaminations par l'eau, un comportement hygiénique doit être observé par les riverains. Depuis plus d'un mois, plusieurs personnes ont quitté leurs domiciles respectifs, chassées par l'eau de crues, depuis le 8 octobre.
L'eau ravage tout sur son passage : maisons, écoles, structures sanitaires privées et publiques. Bien que bon nombre de personnes soient poussées à quitter leurs logements, certaines ont résisté à ce phénomène inhabituel.
Quels sont les risques que courre cette partie de la population ? Dr Mbaihorem Nicolas, consultant à l'hôpital Notre Dame des apôtres de N'Djamena, répond : « l'eau c'est la vie. Cependant, sa présence et sa mauvaise utilisation peuvent être source de maladies, et probablement entraîner la mort ».
« L'eau, surtout celle issue de l'inondation, transporte plusieurs pathologies ou encore des bactéries, virus et parasites. Parmi ces pathologies, on peut citer le choléra, la fièvre typhoïde, mais aussi les maladies virales telles que les l'hépatite A et E, les rotavirus et aussi les maladies parasitaires telles que l'amibiase, et la bilharziose », explique-t-il.
L'eau peut être la source ou le vecteur de certaines maladies qui se multiplient, comme le paludisme, la trypanosomiase et l’onchocercose. Devant ces risques grandioses, il faut se mettre à l'abri.
Dans ce sens, le médecin consultant Dr Mbaihorem Nicolas donne des orientations : « les mesures à prendre pour la population riveraine sont la désinfection systématique de l'eau, avant toute utilisation ou la bouillir, le lavage systématique des mains, l'hygiène corporelle, l’utilisation des moustiquaires imprégnées, et éviter la promiscuité », conseille Dr Nicolas.
Pour éviter les contaminations par l'eau, un comportement hygiénique doit être observé par les riverains. Depuis plus d'un mois, plusieurs personnes ont quitté leurs domiciles respectifs, chassées par l'eau de crues, depuis le 8 octobre.
L'eau ravage tout sur son passage : maisons, écoles, structures sanitaires privées et publiques. Bien que bon nombre de personnes soient poussées à quitter leurs logements, certaines ont résisté à ce phénomène inhabituel.
Quels sont les risques que courre cette partie de la population ? Dr Mbaihorem Nicolas, consultant à l'hôpital Notre Dame des apôtres de N'Djamena, répond : « l'eau c'est la vie. Cependant, sa présence et sa mauvaise utilisation peuvent être source de maladies, et probablement entraîner la mort ».
« L'eau, surtout celle issue de l'inondation, transporte plusieurs pathologies ou encore des bactéries, virus et parasites. Parmi ces pathologies, on peut citer le choléra, la fièvre typhoïde, mais aussi les maladies virales telles que les l'hépatite A et E, les rotavirus et aussi les maladies parasitaires telles que l'amibiase, et la bilharziose », explique-t-il.
L'eau peut être la source ou le vecteur de certaines maladies qui se multiplient, comme le paludisme, la trypanosomiase et l’onchocercose. Devant ces risques grandioses, il faut se mettre à l'abri.
Dans ce sens, le médecin consultant Dr Mbaihorem Nicolas donne des orientations : « les mesures à prendre pour la population riveraine sont la désinfection systématique de l'eau, avant toute utilisation ou la bouillir, le lavage systématique des mains, l'hygiène corporelle, l’utilisation des moustiquaires imprégnées, et éviter la promiscuité », conseille Dr Nicolas.