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Tchad : la CASAC fustige les organisateurs du Forum citoyen
Le président de la Coalition des associations de la société civile pour l’action citoyenne (CASAC), Mahamoud Ali Seid, a fait un point de presse dimanche à son siège. Il déclare avoir constaté "les gesticulations des certains individus, des pseudos chefs de minuscules partis politiques, des prétendus responsables d'organisations de la société civile affiliés à des mouvements armés et des personnes en mal de popularité pour l’organisation d'un soi-disant « Forum Citoyen »".
Selon lui, "les vrais tchadiens épris de paix et de stabilité et ceux de la diaspora ont envoyé leurs propositions au comité d’organisation".
« Les pertinentes propositions envoyées par la diaspora ont été prises en compte lors du 2ème Forum National Inclusif. Je renvoie ceux qui émettent de réserve à la lecture de la synthèse des travaux dudit forum téléchargeable sur internet », indique le président de la CASAC, Mahamoud Ali Seid.
La CASAC appelle le Gouvernement à "prendre ses responsabilités". « Je dis bien ses responsabilités. Le Tchad est un pays démocratique. Mais cette démocratie n’est pas un synonyme de désordre. Ces hors-la-loi doivent être appréhendés, traqués et traduits devant les juridictions compétentes afin qu’ils répondent de leurs actes. Car notre pays vient de loin. Nous devons préserver les acquis que nous avons aujourd’hui. Notre pays le Tchad aspire depuis une décennie à la paix et il devient alors conséquemment impératif de protéger, voire de chérir cette paix retrouvée », martèle-t-il.
Par ailleurs, Mahamoud Ali Seid dit constater "quotidiennement des réactions époustouflantes voire abracadabrantes, frisant parfois l’indécence, par rapport à la gestion du pays" :
Le président de la CASAC souligne que "des nouveaux et embryonnaires groupuscules politiques, ayant pour seul territoire et vivier électorale les claviers et la toile, viennent de voir le jour" :
La CASAC demande à "ces vendeurs d’illusions, de redescendre sur terre, car la gestion d’un pays ne se fait pas à l’image d’un conte de fée, mais plutôt, avec empathie et délicatesse".
Mahmoud Ali Seid affirme que la population tchadienne "ne doit point céder aux allégations creuses, mensongères et dénuées de tout soubassement rationnel, de ces nouveaux parangons politiques, aux cols blancs, qui chercheraient désespérément à se faire de la publicité sur l’autel de la naïveté du subconscient collectif national".
La CASAC demande par sa voix, à "toute la population tchadienne", "d’être vigilante", et "ne point donner l’occasion aux différents clochards de la vie politique tchadienne, en manque d’inspiration, d’assouvir leurs désirs diaboliques".
Selon lui, "les vrais tchadiens épris de paix et de stabilité et ceux de la diaspora ont envoyé leurs propositions au comité d’organisation".
« Les pertinentes propositions envoyées par la diaspora ont été prises en compte lors du 2ème Forum National Inclusif. Je renvoie ceux qui émettent de réserve à la lecture de la synthèse des travaux dudit forum téléchargeable sur internet », indique le président de la CASAC, Mahamoud Ali Seid.
La CASAC appelle le Gouvernement à "prendre ses responsabilités". « Je dis bien ses responsabilités. Le Tchad est un pays démocratique. Mais cette démocratie n’est pas un synonyme de désordre. Ces hors-la-loi doivent être appréhendés, traqués et traduits devant les juridictions compétentes afin qu’ils répondent de leurs actes. Car notre pays vient de loin. Nous devons préserver les acquis que nous avons aujourd’hui. Notre pays le Tchad aspire depuis une décennie à la paix et il devient alors conséquemment impératif de protéger, voire de chérir cette paix retrouvée », martèle-t-il.
Par ailleurs, Mahamoud Ali Seid dit constater "quotidiennement des réactions époustouflantes voire abracadabrantes, frisant parfois l’indécence, par rapport à la gestion du pays" :
"Ces pseudos politicards malins, ces fous, acteurs de la société civile, qui surfent sur les pesanteurs des haines et de divisions, doivent se rendre à l’évidence que le peuple tchadien est désormais mûr, et à ce titre, il ne permettra guère à un quelconque quidam de venir véhiculer les messages de déstabilisation, teintés de germes nauséeuses qui sentent indiscutablement la mauvaise foi patriotique et l’incivisme".
Le président de la CASAC souligne que "des nouveaux et embryonnaires groupuscules politiques, ayant pour seul territoire et vivier électorale les claviers et la toile, viennent de voir le jour" :
« Mais hélas, ces derniers arrivistes de la classe politique tchadienne font de la politique par effraction. Leurs collaborations avec les officines et autres laboratoires extérieurs, sont des secrets de polichinelle. Ils pensent naïvement gruger l’opinion publique, par des phraséologies politiques prêt à porter, digne des grands films hollywoodiens »
La CASAC demande à "ces vendeurs d’illusions, de redescendre sur terre, car la gestion d’un pays ne se fait pas à l’image d’un conte de fée, mais plutôt, avec empathie et délicatesse".
Mahmoud Ali Seid affirme que la population tchadienne "ne doit point céder aux allégations creuses, mensongères et dénuées de tout soubassement rationnel, de ces nouveaux parangons politiques, aux cols blancs, qui chercheraient désespérément à se faire de la publicité sur l’autel de la naïveté du subconscient collectif national".
"Il faut être un incrédule de la dernière heure pour prétendre ignorer ou snober les bons, remarquablement positifs, qu’a connu notre pays le Tchad, et ce, dans pratiquement tous les domaines. Les tintamarres cybernétiques produits par les activistes au sein des réseaux sociaux, n’absoudront jamais les avancées politiques majeures de notre pays"
La CASAC demande par sa voix, à "toute la population tchadienne", "d’être vigilante", et "ne point donner l’occasion aux différents clochards de la vie politique tchadienne, en manque d’inspiration, d’assouvir leurs désirs diaboliques".
