Nadjimbadjé Sephora, directrice de la fondation, a souligné dans son discours l'universalité et l'inaliénabilité des droits des enfants, tout en exprimant son indignation face aux défis persistants dans la réalisation de ces droits fondamentaux au Tchad. Elle a mentionné que, malgré la ratification des conventions, les enfants souffrent encore de multiples maux, dont la pauvreté et la violence.
La représentante du ministère de la Femme, Zeinaba Tidjani Ali, a abordé la fréquence des violences faites aux enfants et leurs conséquences désastreuses pour la société et le développement économique. Elle a mis en avant les progrès réalisés au Tchad pour protéger les enfants, tels que la législation contre les pires formes de travail des enfants et le mariage précoce, ainsi que des programmes pour l'éducation, la santé et le développement économique des enfants.
La cérémonie a été l'occasion de rappeler que les enfants ne sont pas seulement des bénéficiaires passifs de la protection et de l'aide, mais des acteurs clés de leur propre développement. La fondation Dieu Bénit a réaffirmé son engagement à écouter et à intégrer la voix des enfants dans son travail.
La représentante du ministère de la Femme, Zeinaba Tidjani Ali, a abordé la fréquence des violences faites aux enfants et leurs conséquences désastreuses pour la société et le développement économique. Elle a mis en avant les progrès réalisés au Tchad pour protéger les enfants, tels que la législation contre les pires formes de travail des enfants et le mariage précoce, ainsi que des programmes pour l'éducation, la santé et le développement économique des enfants.
La cérémonie a été l'occasion de rappeler que les enfants ne sont pas seulement des bénéficiaires passifs de la protection et de l'aide, mais des acteurs clés de leur propre développement. La fondation Dieu Bénit a réaffirmé son engagement à écouter et à intégrer la voix des enfants dans son travail.