L'avocat d'un collectif de la communauté Zakhawa, Me. Alain Kagonbé, a tenu un point de presse ce 17 août. Il a réitéré la demande de ses clients pour le jugement de Abel Maïna, ex-activiste et actuel conseiller du premier ministre.
La communauté Zakhawa reproche à Abel Maïna d'avoir tenu des propos diffamatoires et insultants à leur égard, à travers les réseaux sociaux, lorsqu'il était activiste en France.
Le président de la commission de la communauté Zakhawa, Mahamat Souleymane Dagache, affirme que "si Abel Maïna doit demander pardon, c'est devant la justice et non en public. Et seule la justice et la communauté doit décider d'accepter ou non".
"S'il est plus important que la communauté toute entière, qu'on nous le dise", ajoute-t-il.
La communauté Zakhawa maintient sa menace de boycott du dialogue national inclusif. Elle entend bloquer l'entrée de la salle du dialogue pour s'opposer à la tenue des assises.
À son retour au pays dans le cadre de la réconciliation nationale, Abel Maïna s'est excusé publiquement.
La communauté Zakhawa reproche à Abel Maïna d'avoir tenu des propos diffamatoires et insultants à leur égard, à travers les réseaux sociaux, lorsqu'il était activiste en France.
Le président de la commission de la communauté Zakhawa, Mahamat Souleymane Dagache, affirme que "si Abel Maïna doit demander pardon, c'est devant la justice et non en public. Et seule la justice et la communauté doit décider d'accepter ou non".
"S'il est plus important que la communauté toute entière, qu'on nous le dise", ajoute-t-il.
La communauté Zakhawa maintient sa menace de boycott du dialogue national inclusif. Elle entend bloquer l'entrée de la salle du dialogue pour s'opposer à la tenue des assises.
À son retour au pays dans le cadre de la réconciliation nationale, Abel Maïna s'est excusé publiquement.