À l’arrivée des forces de l’ordre, un homme au volant d’un véhicule de marque Corolla "Djassous" a démarré en trombe pour tenter d’échapper au contrôle. Les agents de police ont alors ouvert le feu en direction du véhicule, visant les pneus pour le neutraliser. Malgré les tirs nourris, le véhicule a réussi à prendre la fuite.
Sur les lieux, deux autres véhicules, soupçonnés d’être en provenance du Soudan en guerre, ont été découverts. Une vive altercation a éclaté entre le chef de la mission policière — relevant d’Interpol — et les gestionnaires du parc. Le responsable des opérations exigeait la restitution immédiate du véhicule en fuite, ce à quoi les gestionnaires ont refusé de se plier.
« Nous disposons de GPS qui nous ont permis de détecter les véhicules d’origine douteuse, y compris celui qui a pris la fuite », a affirmé le colonel de police, chef de mission. Un des gestionnaires lui a alors répondu : « Vous mentez ! » Ce propos jugé irrespectueux a conduit à son interpellation immédiate par les forces de l’ordre, qui l’ont embarqué de force à bord d’un pick-up de service.
Au total, deux gestionnaires du parc automobile ont été arrêtés.
Pour rappel, le ministre de la Sécurité publique et de l’Immigration, le général Ali Ahmat Aghabache, avait effectué, la veille, une visite surprise sur plusieurs postes de contrôle interministériels dans la capitale. L’objectif de cette visite était de constater personnellement l’effectivité de la campagne de vérification des pièces administratives des véhicules, lancée le 2 juin dernier, et de s’assurer du bon déroulement des opérations menées par la commission mixte.
Les documents exigés lors de ces contrôles sont sans équivoque : certificat de dédouanement, carte grise, permis de conduire, fiche technique, assurance et carte nationale d’identité. Un délai de grâce de 45 jours avait été accordé aux automobilistes pour se mettre en règle. Passé ce délai, des sanctions strictes seront appliquées sans exception.
La campagne, actuellement concentrée à N’Djamena, sera progressivement étendue à l’ensemble du territoire national. Elle vise à réguler la circulation, lutter contre la fraude documentaire et garantir une meilleure sécurité pour tous les usagers de la route.
Sur les lieux, deux autres véhicules, soupçonnés d’être en provenance du Soudan en guerre, ont été découverts. Une vive altercation a éclaté entre le chef de la mission policière — relevant d’Interpol — et les gestionnaires du parc. Le responsable des opérations exigeait la restitution immédiate du véhicule en fuite, ce à quoi les gestionnaires ont refusé de se plier.
« Nous disposons de GPS qui nous ont permis de détecter les véhicules d’origine douteuse, y compris celui qui a pris la fuite », a affirmé le colonel de police, chef de mission. Un des gestionnaires lui a alors répondu : « Vous mentez ! » Ce propos jugé irrespectueux a conduit à son interpellation immédiate par les forces de l’ordre, qui l’ont embarqué de force à bord d’un pick-up de service.
Au total, deux gestionnaires du parc automobile ont été arrêtés.
Pour rappel, le ministre de la Sécurité publique et de l’Immigration, le général Ali Ahmat Aghabache, avait effectué, la veille, une visite surprise sur plusieurs postes de contrôle interministériels dans la capitale. L’objectif de cette visite était de constater personnellement l’effectivité de la campagne de vérification des pièces administratives des véhicules, lancée le 2 juin dernier, et de s’assurer du bon déroulement des opérations menées par la commission mixte.
Les documents exigés lors de ces contrôles sont sans équivoque : certificat de dédouanement, carte grise, permis de conduire, fiche technique, assurance et carte nationale d’identité. Un délai de grâce de 45 jours avait été accordé aux automobilistes pour se mettre en règle. Passé ce délai, des sanctions strictes seront appliquées sans exception.
La campagne, actuellement concentrée à N’Djamena, sera progressivement étendue à l’ensemble du territoire national. Elle vise à réguler la circulation, lutter contre la fraude documentaire et garantir une meilleure sécurité pour tous les usagers de la route.