Un retard… puis une disparition des preuves
Selon plusieurs témoignages de passagers, Air France aurait dans un premier temps envoyé des messages SMS et WhatsApp pour s’excuser du retard, avant de supprimer ces notifications sans explication. D'après les documents mis à notre disposition, à la surprise générale, la compagnie aurait ensuite modifié l’heure officielle de départ, la faisant passer de 3h30 à 5h15 dans ses systèmes, réduisant ainsi artificiellement le retard perçu.
Une manœuvre pour éviter l’indemnisation ?
Cette modification d’horaire a des conséquences directes : selon le règlement européen CE n° 261/2004, une indemnisation n’est due que si le retard à destination finale dépasse 3 heures. En abaissant officiellement le retard en-dessous de ce seuil, Air France s’exonérerait ainsi de toute compensation financière.
Des plateformes spécialisées comme AirHelp ont relayé cette interprétation : « Il semblerait que votre vol n’ait pas été retardé de 3 heures ou plus. Malheureusement, le règlement sur les droits des passagers aériens n’exige pas des compagnies aériennes qu’elles vous indemnisent dans ce cas. »
Les passagers dénoncent une violation des droits
Un passager concerné déclare : « Air France ne peut pas se permettre de manipuler les données officielles. Nous réclamons non seulement une indemnisation, mais aussi des excuses pour avoir falsifié les horaires. C’est une atteinte grave aux droits des voyageurs. »
Cette affaire pose la question de la transparence des compagnies aériennes et de leur engagement à respecter les normes internationales. Si les accusations sont avérées, Air France pourrait faire face à des actions collectives et à des sanctions réglementaires pour entrave au droit des passagers.
Selon plusieurs témoignages de passagers, Air France aurait dans un premier temps envoyé des messages SMS et WhatsApp pour s’excuser du retard, avant de supprimer ces notifications sans explication. D'après les documents mis à notre disposition, à la surprise générale, la compagnie aurait ensuite modifié l’heure officielle de départ, la faisant passer de 3h30 à 5h15 dans ses systèmes, réduisant ainsi artificiellement le retard perçu.
Une manœuvre pour éviter l’indemnisation ?
Cette modification d’horaire a des conséquences directes : selon le règlement européen CE n° 261/2004, une indemnisation n’est due que si le retard à destination finale dépasse 3 heures. En abaissant officiellement le retard en-dessous de ce seuil, Air France s’exonérerait ainsi de toute compensation financière.
Des plateformes spécialisées comme AirHelp ont relayé cette interprétation : « Il semblerait que votre vol n’ait pas été retardé de 3 heures ou plus. Malheureusement, le règlement sur les droits des passagers aériens n’exige pas des compagnies aériennes qu’elles vous indemnisent dans ce cas. »
Les passagers dénoncent une violation des droits
Un passager concerné déclare : « Air France ne peut pas se permettre de manipuler les données officielles. Nous réclamons non seulement une indemnisation, mais aussi des excuses pour avoir falsifié les horaires. C’est une atteinte grave aux droits des voyageurs. »
Cette affaire pose la question de la transparence des compagnies aériennes et de leur engagement à respecter les normes internationales. Si les accusations sont avérées, Air France pourrait faire face à des actions collectives et à des sanctions réglementaires pour entrave au droit des passagers.