En saison pluvieuse, lorsqu'il pleut au Tchad, notamment dans n'importe quelle ville, certains travailleurs des secteurs public et privé considèrent cela comme un obstacle et refusent de se rendre sur leur lieu de travail, bien qu'ils soient payés pour les jours prestés.
Ce refus de travailler, sous prétexte de la pluie soulève des questions sur sa légitimité dans le code du travail tchadien. Pendant ce temps, les jours non prestés représentent une perte financière pour les employeurs de tous les secteurs.
Contrairement aux agriculteurs qui attendent la pluie pour leurs travaux champêtres, afin de lutter contre l'insécurité alimentaire, certains travailleurs urbains trouvent ce phénomène météorologique très contraignant.
Est-ce un manque de conscience professionnelle chez les travailleurs tchadiens, ou alors l'État n'a-t-il pas suffisamment renforcé les capacités des travailleurs sur les conséquences des jours non prestés ?
Par exemple, chez nos voisins Camerounais, la pluie n'est pas perçue comme un obstacle pour les travailleurs. Que ce soit une pluie d'un jour, de deux jours ou de trois jours, les travailleurs et commerçants camerounais respectent leurs heures de travail. Pourquoi cet esprit n'est-il pas inculqué chez les travailleurs tchadiens ?
De plus, lorsqu'une organisation convoque une réunion, elle est souvent reportée en cas de pluie. Pourtant, on dit que le temps, c'est de l'argent. Comment récupérer tout ce temps perdu ?
À la lumière de ces observations, nous demandons aux employeurs de revoir les conditions sociales des travailleurs et d'assurer un suivi régulier des jours prestés et non prestés, pour améliorer le fonctionnement des institutions.
Ce refus de travailler, sous prétexte de la pluie soulève des questions sur sa légitimité dans le code du travail tchadien. Pendant ce temps, les jours non prestés représentent une perte financière pour les employeurs de tous les secteurs.
Contrairement aux agriculteurs qui attendent la pluie pour leurs travaux champêtres, afin de lutter contre l'insécurité alimentaire, certains travailleurs urbains trouvent ce phénomène météorologique très contraignant.
Est-ce un manque de conscience professionnelle chez les travailleurs tchadiens, ou alors l'État n'a-t-il pas suffisamment renforcé les capacités des travailleurs sur les conséquences des jours non prestés ?
Par exemple, chez nos voisins Camerounais, la pluie n'est pas perçue comme un obstacle pour les travailleurs. Que ce soit une pluie d'un jour, de deux jours ou de trois jours, les travailleurs et commerçants camerounais respectent leurs heures de travail. Pourquoi cet esprit n'est-il pas inculqué chez les travailleurs tchadiens ?
De plus, lorsqu'une organisation convoque une réunion, elle est souvent reportée en cas de pluie. Pourtant, on dit que le temps, c'est de l'argent. Comment récupérer tout ce temps perdu ?
À la lumière de ces observations, nous demandons aux employeurs de revoir les conditions sociales des travailleurs et d'assurer un suivi régulier des jours prestés et non prestés, pour améliorer le fonctionnement des institutions.