Compte de la grogne de la population « abéchoise », par rapport à l'eau et l'évolution des travaux hydrauliques du projet Biteha 2, la plus grande plateforme des associations de la société civile de cette province s'est rendue sur le site des travaux.
La Plateforme des organisations de la société civile du Ouaddaï (POSOC) a dépêché une mission conduite par son porte-parole, Aboul Khassim Mahamat Hassan. Le porte-parole a suivi l'explication du coordinateur du projet Biteha 2, Bakhit Diki Bakaï. Des contraintes techniques retardent l'aboutissement et la population est appelée à prendre son mal en patience.
Selon le porte-parole de la POSOC, « c'est le manque de communication autour de ce projet avec la population qui laisse croire certains doutes alors que les travaux évoluent normalement ». La fin des travaux était prévue pour fin septembre ou début octobre. Cependant, les aléas climatiques et les contraintes techniques ont retardé l'évolution.
« Ça va finir dans très bientôt. Nous ne voulons pas être victimes d'une date précise mais l'évolution se fait sans obstacles », explique Bakhit Diki Bakaï. Il privilégie une finition des travaux dans les règles de l'art. La population de la ville d'Abéché a drastiquement augmenté ces dernières années, engendrant des difficultés à couvrir les besoins en eau de toute la ville.
La Plateforme des organisations de la société civile du Ouaddaï (POSOC) a dépêché une mission conduite par son porte-parole, Aboul Khassim Mahamat Hassan. Le porte-parole a suivi l'explication du coordinateur du projet Biteha 2, Bakhit Diki Bakaï. Des contraintes techniques retardent l'aboutissement et la population est appelée à prendre son mal en patience.
Selon le porte-parole de la POSOC, « c'est le manque de communication autour de ce projet avec la population qui laisse croire certains doutes alors que les travaux évoluent normalement ». La fin des travaux était prévue pour fin septembre ou début octobre. Cependant, les aléas climatiques et les contraintes techniques ont retardé l'évolution.
« Ça va finir dans très bientôt. Nous ne voulons pas être victimes d'une date précise mais l'évolution se fait sans obstacles », explique Bakhit Diki Bakaï. Il privilégie une finition des travaux dans les règles de l'art. La population de la ville d'Abéché a drastiquement augmenté ces dernières années, engendrant des difficultés à couvrir les besoins en eau de toute la ville.