Une cérémonie de lancement officiel des réseaux agropastoraux des cantons Gabri-ngolo et Misséré dans le Kabalaye a eu lieu ce jeudi 31 juillet 2025 à Laï. C’est le sous-préfet de Laï rural, Zakaria Abdoulaye Atim, qui a présidé ladite cérémonie.
Les cantons, dans la plupart, sont confrontés à des tensions croissantes autour de la gestion des ressources naturelles telles que : l’accès à la terre, aux pâturages, aux points d’eau, ou encore les couloirs de transhumance. Ces tensions, souvent récurrentes, peuvent évoluer en conflits ouverts, compromettant la stabilité sociale et la sécurité des populations.
C’est la raison de la mise en place de ce réseau de médiateurs agropastoraux, composés d’acteurs issus des communautés. Pour le responsable du centre pour le dialogue humanitaire, Hissein Youssouf Saleh, la mise en place de ce réseau de médiateurs agropastoraux répond à un besoin exprimé par les populations elles-mêmes.
En effet, le centre pour le dialogue humanitaire accompagne les communautés tchadiennes dans leurs efforts de prévention et de gestion pacifique des conflits, en particulier ceux liés aux ressources naturelles.
Officiant la cérémonie, le sous-préfet de Laï rural, Zakaria Abdoulaye Atim, a souligné que la médiation communautaire n’est pas un simple outil de gestion des conflits. Elle est un pilier de la paix préventive. A cet effet, il en appelle à l’implication active des chefs traditionnels, des leaders religieux, des autorités locales, bref toutes les couches socio-professionnelles, à accompagner efficacement ces médiateurs dans l’exercice de leurs fonctions.
Le sous-préfet a réitéré l’engagement de l’administration à soutenir toute initiative allant dans le sens de la prévention des conflits et du renforcement de la paix et de la cohésion sociale dans la sous-préfecture de Laï, et partant la province de la Tandjilé toute entière.
Ces médiateurs agropastoraux, ont pour rôle d’anticiper les risques de conflits par l’écoute active et alerte précoce, de faciliter le dialogue entre agriculteurs et éleveurs dans un esprit de respect et d’équité, de valoriser les mécanismes traditionnels et modernes de conciliation, et de renforcer les liens de compréhension mutuelle et de solidarité entre les communautés.
Les cantons, dans la plupart, sont confrontés à des tensions croissantes autour de la gestion des ressources naturelles telles que : l’accès à la terre, aux pâturages, aux points d’eau, ou encore les couloirs de transhumance. Ces tensions, souvent récurrentes, peuvent évoluer en conflits ouverts, compromettant la stabilité sociale et la sécurité des populations.
C’est la raison de la mise en place de ce réseau de médiateurs agropastoraux, composés d’acteurs issus des communautés. Pour le responsable du centre pour le dialogue humanitaire, Hissein Youssouf Saleh, la mise en place de ce réseau de médiateurs agropastoraux répond à un besoin exprimé par les populations elles-mêmes.
En effet, le centre pour le dialogue humanitaire accompagne les communautés tchadiennes dans leurs efforts de prévention et de gestion pacifique des conflits, en particulier ceux liés aux ressources naturelles.
Officiant la cérémonie, le sous-préfet de Laï rural, Zakaria Abdoulaye Atim, a souligné que la médiation communautaire n’est pas un simple outil de gestion des conflits. Elle est un pilier de la paix préventive. A cet effet, il en appelle à l’implication active des chefs traditionnels, des leaders religieux, des autorités locales, bref toutes les couches socio-professionnelles, à accompagner efficacement ces médiateurs dans l’exercice de leurs fonctions.
Le sous-préfet a réitéré l’engagement de l’administration à soutenir toute initiative allant dans le sens de la prévention des conflits et du renforcement de la paix et de la cohésion sociale dans la sous-préfecture de Laï, et partant la province de la Tandjilé toute entière.
Ces médiateurs agropastoraux, ont pour rôle d’anticiper les risques de conflits par l’écoute active et alerte précoce, de faciliter le dialogue entre agriculteurs et éleveurs dans un esprit de respect et d’équité, de valoriser les mécanismes traditionnels et modernes de conciliation, et de renforcer les liens de compréhension mutuelle et de solidarité entre les communautés.