Ancien poste administratif, devenu aujourd’hui une province, le Chari-Baguirmi a une grande potentialité culturelle et artistique. Et dans le cadre du Festival Dary, elle fera l’objet d’une présentation ce soir à la place de la Nation, En effet, chaque province y est représentée par une case construite en contreplaqué et équipée d’objets d’art et culturels.
Comme les autres provinces, le Chari-Baguirmi attire les visiteurs par ses danses : Mandala, Djebol, Koumigo et Wadabé. Pour ce qui est de la danse Koumigo, elle est exécutée uniquement par les femmes, drapées dans leurs habits traditionnels. Elles s’alignent en file indienne, en dansant en zigzag, à tour de rôle.
D’après le point focal du Chari Baguirmi, Amsissane Lamana, les danses Mandala, Djebol et Koumigo sont exécutées par des hommes et de femmes habillés en tenues traditionnelles à l’occasion des fêtes : baptême, mariage ou autre réjouissance. A ces occasions, les jeunes filles et garçons s’alignent derrière les adultes, tout en imitant leurs pas, et s’initient à la tradition.
Les instrumentistes sont de vieilles personnes âgées de 50 à 60 ans, habillées en uniforme avec une tenue de couleur chocolat, munies de tam-tams fabriqués en peau de vache, que les batteurs attachent autour du cou, dans le sens vertical du corps. Ils sont au nombre de trois batteurs et deux autres, munis de flûtes en main et soufflant au rythme des tam-tams, alors que la danse est agrémentée de youyous de joie.
La province du Chari Baguirmi a d’autres potentialités, comme les fruits de jujubiers, les céréales, les peaux d’animaux et d’autres produits vivriers.
Comme les autres provinces, le Chari-Baguirmi attire les visiteurs par ses danses : Mandala, Djebol, Koumigo et Wadabé. Pour ce qui est de la danse Koumigo, elle est exécutée uniquement par les femmes, drapées dans leurs habits traditionnels. Elles s’alignent en file indienne, en dansant en zigzag, à tour de rôle.
D’après le point focal du Chari Baguirmi, Amsissane Lamana, les danses Mandala, Djebol et Koumigo sont exécutées par des hommes et de femmes habillés en tenues traditionnelles à l’occasion des fêtes : baptême, mariage ou autre réjouissance. A ces occasions, les jeunes filles et garçons s’alignent derrière les adultes, tout en imitant leurs pas, et s’initient à la tradition.
Les instrumentistes sont de vieilles personnes âgées de 50 à 60 ans, habillées en uniforme avec une tenue de couleur chocolat, munies de tam-tams fabriqués en peau de vache, que les batteurs attachent autour du cou, dans le sens vertical du corps. Ils sont au nombre de trois batteurs et deux autres, munis de flûtes en main et soufflant au rythme des tam-tams, alors que la danse est agrémentée de youyous de joie.
La province du Chari Baguirmi a d’autres potentialités, comme les fruits de jujubiers, les céréales, les peaux d’animaux et d’autres produits vivriers.