Le secrétaire général tient à clarifier que les éléments du FACT sont des résistants tchadiens qui ont été contraints par la dictature au Tchad d'adopter la voie armée pour lutter, s'exprimer et résister afin de libérer leur pays. Les combattants du FACT ne sont ni des étrangers, ni des apatrides, ni des terroristes. Cela est clair et indiscutable, et aucune ambiguïté ne doit brouiller les esprits, selon la déclaration.
Ensuite, il affirme que leur engagement est lié à un différend politique tchadien, ce qui en fait un problème de politique interne au Tchad.
D'après Mahamat Barh Bechir, le FACT représente l'aspiration du peuple tchadien et est le bras armé de ce peuple martyrisé depuis des décennies par un régime despotique et sanguinaire, sous le regard bienveillant de certaines puissances se prétendant défenseurs des droits de l'homme.
"Depuis sa création en 2016, le FACT n'a jamais enregistré de défections de combattants au profit de la dictature. Le groupe défie quiconque de présenter 20 éléments du FACT ayant rejoint le régime. En revanche, chaque jour, de nombreux militaires rejoignent les rangs du FACT, fuyant la dictature et l'injustice", ajoute Mahamat Barh Bechir.
En outre, il souligne que "le comportement de certains officiels français en fin de mission, adoptant des attitudes douteuses pour plaire à la junte en échange de pots-de-vin, doit être condamné. Cet officier français semble ignorer l'histoire de la Résistance française et devrait retourner à l'école pour apprendre que De Gaulle n'est pas parti de Marseille ou de Toulouse pour libérer la France."
Enfin, le FACT relève que "la France gagnerait à se ranger du côté du peuple tchadien éternel, en aidant les Tchadiens à dialoguer pour résoudre pacifiquement et définitivement leurs multiples problèmes, plutôt que de soutenir une junte dynastique, illégale, illégitime et criminelle. Les actions des officiels français déshonorent la France des Lumières et ternissent l'image de la France de la Résistance."
Ensuite, il affirme que leur engagement est lié à un différend politique tchadien, ce qui en fait un problème de politique interne au Tchad.
D'après Mahamat Barh Bechir, le FACT représente l'aspiration du peuple tchadien et est le bras armé de ce peuple martyrisé depuis des décennies par un régime despotique et sanguinaire, sous le regard bienveillant de certaines puissances se prétendant défenseurs des droits de l'homme.
"Depuis sa création en 2016, le FACT n'a jamais enregistré de défections de combattants au profit de la dictature. Le groupe défie quiconque de présenter 20 éléments du FACT ayant rejoint le régime. En revanche, chaque jour, de nombreux militaires rejoignent les rangs du FACT, fuyant la dictature et l'injustice", ajoute Mahamat Barh Bechir.
En outre, il souligne que "le comportement de certains officiels français en fin de mission, adoptant des attitudes douteuses pour plaire à la junte en échange de pots-de-vin, doit être condamné. Cet officier français semble ignorer l'histoire de la Résistance française et devrait retourner à l'école pour apprendre que De Gaulle n'est pas parti de Marseille ou de Toulouse pour libérer la France."
Enfin, le FACT relève que "la France gagnerait à se ranger du côté du peuple tchadien éternel, en aidant les Tchadiens à dialoguer pour résoudre pacifiquement et définitivement leurs multiples problèmes, plutôt que de soutenir une junte dynastique, illégale, illégitime et criminelle. Les actions des officiels français déshonorent la France des Lumières et ternissent l'image de la France de la Résistance."