Le Groupe de concertation des acteurs politiques (GCAP), section femme a exprimé sa colère contre « le climat d'insécurité généralisée », cet après-midi, lors d'un point de presse, au siège du Parti africain pour la paix et la justice sociale (PAP/JS).
« Nous sommes très atterrées », annonce la porte-parole, Florence Loardomdemadje. Atterrées parce que « les femmes sont égorgées, violées et assassinées, les époux et fils braqués, enlevés et torturés ».
En exemple, la porte-parole cite l'homme tué le 20 mars devant la Présidence. Plus récemment, un boutiquier a été assassiné à Amsinené, dans le premier arrondissement. A Kelo le 30 avril, une femme a été violée en présence de sa fille par un militaire. A Walia le 2 mai, une autre femme a été violée, puis assassinée.
Tous ces crimes sont perpétrés malheureusement « par ceux qui nous gouvernent », regrette la porte-parole. L'État s'est donc « mué en bourreau depuis le 27 avril 2021, puis le 20 octobre 2022 ».
Les femmes du GCAP appellent le gouvernement à stopper ces crimes sinon il aura en face de lui une « vague déferlante de femmes nues, marchant et bloquant toutes les rues des principales villes du Tchad et principalement N'Djamena », peu importe la répression sanglante.
« Nous sommes très atterrées », annonce la porte-parole, Florence Loardomdemadje. Atterrées parce que « les femmes sont égorgées, violées et assassinées, les époux et fils braqués, enlevés et torturés ».
En exemple, la porte-parole cite l'homme tué le 20 mars devant la Présidence. Plus récemment, un boutiquier a été assassiné à Amsinené, dans le premier arrondissement. A Kelo le 30 avril, une femme a été violée en présence de sa fille par un militaire. A Walia le 2 mai, une autre femme a été violée, puis assassinée.
Tous ces crimes sont perpétrés malheureusement « par ceux qui nous gouvernent », regrette la porte-parole. L'État s'est donc « mué en bourreau depuis le 27 avril 2021, puis le 20 octobre 2022 ».
Les femmes du GCAP appellent le gouvernement à stopper ces crimes sinon il aura en face de lui une « vague déferlante de femmes nues, marchant et bloquant toutes les rues des principales villes du Tchad et principalement N'Djamena », peu importe la répression sanglante.