À travers un point de presse tenu ce 12 mai 2025, dans les locaux de la radio Fm Liberté, le Groupe de Concertation des Acteurs Politiques (GCAP) a fait une déclaration en réponse aux dernières menaces proférées contre son porte-parole, Max Kemkoye.
Suite à la plainte qu'il qualifie de « honteuse » du secrétariat général du gouvernement, il y a quelques mois dans sa déclaration, Nassour Ibrahim Koursami, membre du GCAP souligne que les partis politiques, le Groupe de Concertation des Acteurs Politiques, souhaitent maintenir le cap, suite à cet élan politique de parti de l'opposition sans faux-fuyant, ni tergiversations ou compromission, en restant fidèles aux aspirations du peuple tchadien qui exige un changement et non un mélange de genres.
Le GCAP déclare que sa position a été cohérente, constante et claire, dès le début jusqu'aujourd'hui. Qu’il n'a ni varié, ni chancelé, quant aux attentes des Tchadiens qui souhaitent un pouvoir émanant de leur choix. Un pouvoir digne, compétent et responsable à même de les servir dans leur diversité, sans distinction de race, ni de religion, dans un environnement paisible.
Le GCAP souligne que ce régime est, pour le peuple tchadien, un poison mortel, mais pour les tenants du pouvoir et leurs accompagnateurs, un festin spécial avec un buffet largement fourni et ouvert, où ils s'en délectent bougrement. Et dans cet enfer, le GCAP affirme qu'ils ont vu de toutes les couleurs parce que dire la vérité au Tchad, c'est t'exposer ou aller tout droit à la guillotine. Il affirme encore que ce pouvoir utilise tous les moyens pour les faire taire à tout prix.
Le GCAP adresse le bilan en illustrant des exemples de ce qui a été vécu durant les quatre ans, et continue à vivre à cause de leur détermination. On peut ainsi évoquer, entre autres : les médias de service public strictement interdits pour leurs activités ; les hôtels privés qui ont reçu l'ordre de ne pas leur louer leurs locaux ; l’accès refusé d'entrer à Moundou ; les expulsés d'Abéché par un gouverneur zélé ; le téléphone sur écoute, et les déplacements surveillés jour et nuit.
Et comme cela ne suffisait pas, le GCAP souligne que la presse privée courageuse qui traite leurs activités subit constamment des pressions et des menaces. Il affirme que tous ces actes répressifs et ces violations de leurs droits et libertés, ainsi que ces humiliations, sont méthodiquement mis en place simplement parce qu'il réclame un Tchad juste, où chaque citoyen est respecté et se sent en sécurité dans son pays.
C’est ainsi que le secrétaire général du MPS, pour plaire à son patron, Mahamat Idriss Deby, a même déclaré publiquement qu'il n'y plus d'opposition au Tchad. Mais, aujourd'hui face aux réalités et impératifs de la démocratie, ils se sont rendus compte qu'une démocratie ne peut fonctionner ou exister sans une opposition de principe.
Une opposition reconnue pour sa détermination dans la lutte, face au pouvoir et sa démarcation non négociable avec le pouvoir qui n'est pas celle fabriquée par eux même. « Les Tchadiens ne sont pas dupes. Ils savent qui est qui. Un mouton ne peut pas du jour au lendemain devenir lion », a-t-il indiqué. Par rapport à l'arrestation de leur collègue, le GCAP pointe du doigt la responsabilité du gouvernement.
Il déclare qu'il connaît les plaques qui les suivent, et aussi les agents qui les filent, ou qui sont placés devant leurs domiciles et résidences. Enfin, le GCAP déclare que ses membres n'ont pas peur et ne s'inquiètent pas dans la mesure où ils ont survécu à ces genres de menaces, tout le long de ces quatre dernières années, sans que rien n'entame leur détermination.
Suite à la plainte qu'il qualifie de « honteuse » du secrétariat général du gouvernement, il y a quelques mois dans sa déclaration, Nassour Ibrahim Koursami, membre du GCAP souligne que les partis politiques, le Groupe de Concertation des Acteurs Politiques, souhaitent maintenir le cap, suite à cet élan politique de parti de l'opposition sans faux-fuyant, ni tergiversations ou compromission, en restant fidèles aux aspirations du peuple tchadien qui exige un changement et non un mélange de genres.
Le GCAP déclare que sa position a été cohérente, constante et claire, dès le début jusqu'aujourd'hui. Qu’il n'a ni varié, ni chancelé, quant aux attentes des Tchadiens qui souhaitent un pouvoir émanant de leur choix. Un pouvoir digne, compétent et responsable à même de les servir dans leur diversité, sans distinction de race, ni de religion, dans un environnement paisible.
Le GCAP souligne que ce régime est, pour le peuple tchadien, un poison mortel, mais pour les tenants du pouvoir et leurs accompagnateurs, un festin spécial avec un buffet largement fourni et ouvert, où ils s'en délectent bougrement. Et dans cet enfer, le GCAP affirme qu'ils ont vu de toutes les couleurs parce que dire la vérité au Tchad, c'est t'exposer ou aller tout droit à la guillotine. Il affirme encore que ce pouvoir utilise tous les moyens pour les faire taire à tout prix.
Le GCAP adresse le bilan en illustrant des exemples de ce qui a été vécu durant les quatre ans, et continue à vivre à cause de leur détermination. On peut ainsi évoquer, entre autres : les médias de service public strictement interdits pour leurs activités ; les hôtels privés qui ont reçu l'ordre de ne pas leur louer leurs locaux ; l’accès refusé d'entrer à Moundou ; les expulsés d'Abéché par un gouverneur zélé ; le téléphone sur écoute, et les déplacements surveillés jour et nuit.
Et comme cela ne suffisait pas, le GCAP souligne que la presse privée courageuse qui traite leurs activités subit constamment des pressions et des menaces. Il affirme que tous ces actes répressifs et ces violations de leurs droits et libertés, ainsi que ces humiliations, sont méthodiquement mis en place simplement parce qu'il réclame un Tchad juste, où chaque citoyen est respecté et se sent en sécurité dans son pays.
C’est ainsi que le secrétaire général du MPS, pour plaire à son patron, Mahamat Idriss Deby, a même déclaré publiquement qu'il n'y plus d'opposition au Tchad. Mais, aujourd'hui face aux réalités et impératifs de la démocratie, ils se sont rendus compte qu'une démocratie ne peut fonctionner ou exister sans une opposition de principe.
Une opposition reconnue pour sa détermination dans la lutte, face au pouvoir et sa démarcation non négociable avec le pouvoir qui n'est pas celle fabriquée par eux même. « Les Tchadiens ne sont pas dupes. Ils savent qui est qui. Un mouton ne peut pas du jour au lendemain devenir lion », a-t-il indiqué. Par rapport à l'arrestation de leur collègue, le GCAP pointe du doigt la responsabilité du gouvernement.
Il déclare qu'il connaît les plaques qui les suivent, et aussi les agents qui les filent, ou qui sont placés devant leurs domiciles et résidences. Enfin, le GCAP déclare que ses membres n'ont pas peur et ne s'inquiètent pas dans la mesure où ils ont survécu à ces genres de menaces, tout le long de ces quatre dernières années, sans que rien n'entame leur détermination.