Le chef de la transition Mahamat Idriss Deby a affirmé ce 2 août que rien au plan juridique, ne l’oblige à organiser le Dialogue national. « Mais j’ai décidé, en mon âme et conscience, que c’était la voie idéale », a-t-il dit.
« Je tiens à rappeler, que rien au plan juridique, ne m’obligeait à organiser ce Dialogue. Mais j’ai décidé, en mon âme et conscience, que c’était la voie idéale pour rechercher la paix sociale, l’harmonie nationale pour bâtir un Tchad nouveau, réconcilié avec lui-même. »
Cette déclaration du PCMT suscite déjà de vives réactions sur les réseaux sociaux et accentue les crispations à l’approche du dialogue. Les tchadiens estiment qu’il ne peut se prévaloir de l’aspect juridique sachant que la prise du pouvoir par le Conseil militaire de transition est contraire aux règles constitutionnelles.
« Je tiens à rappeler, que rien au plan juridique, ne m’obligeait à organiser ce Dialogue. Mais j’ai décidé, en mon âme et conscience, que c’était la voie idéale pour rechercher la paix sociale, l’harmonie nationale pour bâtir un Tchad nouveau, réconcilié avec lui-même. »
Cette déclaration du PCMT suscite déjà de vives réactions sur les réseaux sociaux et accentue les crispations à l’approche du dialogue. Les tchadiens estiment qu’il ne peut se prévaloir de l’aspect juridique sachant que la prise du pouvoir par le Conseil militaire de transition est contraire aux règles constitutionnelles.