
Le président du Parti Réformiste (PR), Yacine Abdrahmane Sakine. © Abakar Chérif/Alwihda Info
Le président du Parti Réformiste (PR), Yacine Abdrahmane Sakine, a appelé lundi les intellectuels du pays à "faire leur travail afin de sortir de cette misère". Il s'est exprimé au cours d'un point de presse.
"Notre pays bien-aimé le Tchad souffre extrêmement de plusieurs maux, orchestrés et exécutés sciemment par le régime despotique qui gouverne le Tchad", a lancé Yacine Abdrahmane Sakine.
Il dénonce l'ethnicisme, le tribalisme le népotisme, le clanisme, le régionalisme, la haine, la vengeance et la discrimination qui sont, selon lui, "érigés en système de gouvernance en vue de diviser pour mieux régner."
Évoquant une "situation inqualifiable", le leader du Parti Réformiste s'interroge sur le rôle des intellectuels pour sauver la société de cette déchirure.
"Ce que nous avons constaté en tant que parti politique est que, certains intellectuels tchadiens sont tombés dans le piège que leur a tendu le pouvoir égocentrique du MPS. Ça veut dire qu'au lieu de parler au nom du Tchad, de son unité, de son développement, de la dignité et de son avenir, ils parlent malheureusement au nom de leurs ethnies, de leurs familles et de leurs communautés, et incitent les uns contre les autres à la haine, à la division et à la vengeance pour appliquer la politique divisionniste du régime", estime Yacine Abdrahmane Sakine.
Il ajoute que l'Éducation nationale ne se limite pas seulement à fabriquer des tchadiens qui soient performants, créatifs et productifs sur le marché de l'emploi. Mais elle consiste également à former des tchadiens pour qu'ils soient capables de faire face à toute adversité et qu'ils fonctionnent avec des valeurs humaines.
Le président du Parti Réformiste appelle au sérieux et à la discipline pour être au service du pays, tout en évitant de parler au nom des ethnies et des communautés. "Au 21ème siècle, aucune ethnie, aucune communauté, aucun pays et aucun continent ne peut s'en sortir seul. C'est pour cela que nous vous demandons de rester unis et solidaires et parler qu'au nom du Tchad, afin que nous puissions inventer de nouvelles manières de vivre ensemble et cultiver en permanence l'amour de ce pays", dit-il.
"Notre pays bien-aimé le Tchad souffre extrêmement de plusieurs maux, orchestrés et exécutés sciemment par le régime despotique qui gouverne le Tchad", a lancé Yacine Abdrahmane Sakine.
Il dénonce l'ethnicisme, le tribalisme le népotisme, le clanisme, le régionalisme, la haine, la vengeance et la discrimination qui sont, selon lui, "érigés en système de gouvernance en vue de diviser pour mieux régner."
Évoquant une "situation inqualifiable", le leader du Parti Réformiste s'interroge sur le rôle des intellectuels pour sauver la société de cette déchirure.
"Ce que nous avons constaté en tant que parti politique est que, certains intellectuels tchadiens sont tombés dans le piège que leur a tendu le pouvoir égocentrique du MPS. Ça veut dire qu'au lieu de parler au nom du Tchad, de son unité, de son développement, de la dignité et de son avenir, ils parlent malheureusement au nom de leurs ethnies, de leurs familles et de leurs communautés, et incitent les uns contre les autres à la haine, à la division et à la vengeance pour appliquer la politique divisionniste du régime", estime Yacine Abdrahmane Sakine.
Il ajoute que l'Éducation nationale ne se limite pas seulement à fabriquer des tchadiens qui soient performants, créatifs et productifs sur le marché de l'emploi. Mais elle consiste également à former des tchadiens pour qu'ils soient capables de faire face à toute adversité et qu'ils fonctionnent avec des valeurs humaines.
Le président du Parti Réformiste appelle au sérieux et à la discipline pour être au service du pays, tout en évitant de parler au nom des ethnies et des communautés. "Au 21ème siècle, aucune ethnie, aucune communauté, aucun pays et aucun continent ne peut s'en sortir seul. C'est pour cela que nous vous demandons de rester unis et solidaires et parler qu'au nom du Tchad, afin que nous puissions inventer de nouvelles manières de vivre ensemble et cultiver en permanence l'amour de ce pays", dit-il.