
Le phénomène des enfants égarés est devenu monnaie courante à N'Djamena. La presse remplit parfois le rôle d'ange gardien, en diffusant des annonces permettant à certains parents chanceux, de retrouver leur progéniture.
Ce triste phénomène met en lumière une réalité dérangeante : de nombreux parents ne s'occupent pas correctement de leurs enfants. Il suffit de se promener dans certains quartiers, comme Ridina, Ardep-Djoumal, Dembé, Farcha, Kabalaye, ou Paris-Congo, pour s'en rendre compte. Souvent, après 20 heures, les enfants errent encore dans les rues, sans surveillance, cherchant à s'amuser.
Ce sont généralement les enfants de familles défavorisées, où le père rentre tard du travail et où la mère est accaparée par les tâches ménagères et le petit commerce. Les enfants se retrouvent livrés à eux-mêmes, les aînés étant parfois chargés de surveiller les plus jeunes.
Aïcha, mère de trois enfants et vendeuse de gâteaux, témoigne : « Nous sommes obligés de laisser les enfants seuls à la maison, parfois nous les confions aux voisins ».
Même s'il est difficile d'obtenir des chiffres précis sur le nombre d'enfants égarés chaque jour, il est indéniable que les médias jouent un rôle crucial en diffusant des informations sur ce phénomène. Irène en témoigne : « C'est grâce à FM Liberté que j'ai rapidement retrouvé ma fille égarée ».
Ce phénomène alarmant interpelle la responsabilité des parents en matière de protection de leurs enfants. Ils doivent exercer un meilleur contrôle sur les sorties de leurs enfants. Parallèlement, le ministère chargé de la protection de l'enfance doit sensibiliser davantage les parents à ce problème.
En fin de compte, la question de la protection des enfants reste épineuse, suscitant des interrogations sur la raison de mettre au monde des enfants si l'on est incapable de les protéger. Ce phénomène comporte de nombreux risques, notamment le vol d'enfants qui est malheureusement courant.
Le gouvernement doit envisager des sanctions à l'encontre des parents négligents, non seulement pour dissuader les autres, mais aussi pour apporter une solution à ce problème.
Ce triste phénomène met en lumière une réalité dérangeante : de nombreux parents ne s'occupent pas correctement de leurs enfants. Il suffit de se promener dans certains quartiers, comme Ridina, Ardep-Djoumal, Dembé, Farcha, Kabalaye, ou Paris-Congo, pour s'en rendre compte. Souvent, après 20 heures, les enfants errent encore dans les rues, sans surveillance, cherchant à s'amuser.
Ce sont généralement les enfants de familles défavorisées, où le père rentre tard du travail et où la mère est accaparée par les tâches ménagères et le petit commerce. Les enfants se retrouvent livrés à eux-mêmes, les aînés étant parfois chargés de surveiller les plus jeunes.
Aïcha, mère de trois enfants et vendeuse de gâteaux, témoigne : « Nous sommes obligés de laisser les enfants seuls à la maison, parfois nous les confions aux voisins ».
Même s'il est difficile d'obtenir des chiffres précis sur le nombre d'enfants égarés chaque jour, il est indéniable que les médias jouent un rôle crucial en diffusant des informations sur ce phénomène. Irène en témoigne : « C'est grâce à FM Liberté que j'ai rapidement retrouvé ma fille égarée ».
Ce phénomène alarmant interpelle la responsabilité des parents en matière de protection de leurs enfants. Ils doivent exercer un meilleur contrôle sur les sorties de leurs enfants. Parallèlement, le ministère chargé de la protection de l'enfance doit sensibiliser davantage les parents à ce problème.
En fin de compte, la question de la protection des enfants reste épineuse, suscitant des interrogations sur la raison de mettre au monde des enfants si l'on est incapable de les protéger. Ce phénomène comporte de nombreux risques, notamment le vol d'enfants qui est malheureusement courant.
Le gouvernement doit envisager des sanctions à l'encontre des parents négligents, non seulement pour dissuader les autres, mais aussi pour apporter une solution à ce problème.