Construit en 2009 par les revenus pétroliers de 5% de Doba, le bâtiment abritant les services départementaux est gravement menacé par les intempéries de toute nature, depuis quatre ans.
En effet, les pluies des deux dernières nuits ont plus compliqué la situation. Les vents violents de ces dernières années ont fait décoller le goudron posé sur le toit en dalle, mais aussi par l'action de la chaleur. Le toit porte de grandes fissures, laissant couler à flot les eaux de pluies stagnantes.
Les importants documents administratifs, entassés dans les cartons, et même dans les armoires, sont en bonne partie irrécupérables. Le secrétaire général du département, Sougui Daoussa Dicko a renseigné que plusieurs correspondances ont été envoyées aux revenus pétroliers de 5% de Doba, demandant la réparation du toit de ce bâtiment, mais cela est resté une lettre morte.
Pour ce fait, il a plaidé encore auprès de l'entreprise sous-traitant de 5% de Doba, pour une réparation. Pendant ce temps, c'est un exercice pénible pour les agents qui sont obligés de porter des bottes, et manier les raclettes aux bureaux, chaque fois qu'il pleut.
Pour les mêmes raisons, la résidence du préfet, construite dans les mêmes conditions, est inhabitable et nécessite aussi une réparation.
En effet, les pluies des deux dernières nuits ont plus compliqué la situation. Les vents violents de ces dernières années ont fait décoller le goudron posé sur le toit en dalle, mais aussi par l'action de la chaleur. Le toit porte de grandes fissures, laissant couler à flot les eaux de pluies stagnantes.
Les importants documents administratifs, entassés dans les cartons, et même dans les armoires, sont en bonne partie irrécupérables. Le secrétaire général du département, Sougui Daoussa Dicko a renseigné que plusieurs correspondances ont été envoyées aux revenus pétroliers de 5% de Doba, demandant la réparation du toit de ce bâtiment, mais cela est resté une lettre morte.
Pour ce fait, il a plaidé encore auprès de l'entreprise sous-traitant de 5% de Doba, pour une réparation. Pendant ce temps, c'est un exercice pénible pour les agents qui sont obligés de porter des bottes, et manier les raclettes aux bureaux, chaque fois qu'il pleut.
Pour les mêmes raisons, la résidence du préfet, construite dans les mêmes conditions, est inhabitable et nécessite aussi une réparation.