
Un amphithéâtre de l'Université de N'Djamena. Illustration © Alwihda Info
"Nous devons aujourd'hui plus que jamais travailler avec les enseignants pour protéger le droit à l'éducation et le faire appliquer dans le nouveau contexte créé par la pandémie", a déclaré dimanche le bureau exécutif du Syndicat national des enseignants et chercheurs du supérieur (SYNECS).
Selon le Syndicat, "les enseignants et chercheurs meurent en nombre chaque année par manque de couverture sanitaire, sans que cela n'interpelle les plus hautes autorités".
Il explique que la gouvernance universitaire demeure un réel problème car les nominations aux différents postes de responsabilités n'obéissent pas au décret n° 900 qui fait appel aux rangs, grades et qualités.
Accélérer le processus de reversement du personnel enseignant contractuel
Le bureau exécutif nationale demande au Gouvernement d'accélérer le processus de reversement du personnel enseignant contractuel à la solde en vue de leur prise en compte, et d'éviter le retard dans le paiement des salaires, primes et indemnités qui risque de causer des désagréments au bon déroulement des activités académiques.
Le SYNECS ajoute que "les enseignants et chercheurs retraités qui totalisent plusieurs mois d'arriérés de pension méritent une attention particulière du gouvernement. après des années de nobles services".
Il demande de rendre effective la bourse CONFOFOR, une promesse du chef de l'État afin de permettre à l'enseignement supérieur d'avoir des enseignants de rang magistral.
Enfin, le bureau exécutif attire l'attention du Gouvernement sur la signature du projet de décret sur le mina horaire et celle du statut autonome des enseignants du supérieur. "L'attente de la signature de ces documents n'a que trop duré et le SYNECS n'entend pas encore supporter un autre temps d'attente", relève Dr. Guirayo Jérémie, président du bureau exécutif national.
D'après le SYNECS, la résolution de ces problèmes dans un bref délai permettra "d'éviter toute perturbation dans le fonctionnement des activités académiques".
Selon le Syndicat, "les enseignants et chercheurs meurent en nombre chaque année par manque de couverture sanitaire, sans que cela n'interpelle les plus hautes autorités".
Il explique que la gouvernance universitaire demeure un réel problème car les nominations aux différents postes de responsabilités n'obéissent pas au décret n° 900 qui fait appel aux rangs, grades et qualités.
Accélérer le processus de reversement du personnel enseignant contractuel
Le bureau exécutif nationale demande au Gouvernement d'accélérer le processus de reversement du personnel enseignant contractuel à la solde en vue de leur prise en compte, et d'éviter le retard dans le paiement des salaires, primes et indemnités qui risque de causer des désagréments au bon déroulement des activités académiques.
Le SYNECS ajoute que "les enseignants et chercheurs retraités qui totalisent plusieurs mois d'arriérés de pension méritent une attention particulière du gouvernement. après des années de nobles services".
Il demande de rendre effective la bourse CONFOFOR, une promesse du chef de l'État afin de permettre à l'enseignement supérieur d'avoir des enseignants de rang magistral.
Enfin, le bureau exécutif attire l'attention du Gouvernement sur la signature du projet de décret sur le mina horaire et celle du statut autonome des enseignants du supérieur. "L'attente de la signature de ces documents n'a que trop duré et le SYNECS n'entend pas encore supporter un autre temps d'attente", relève Dr. Guirayo Jérémie, président du bureau exécutif national.
D'après le SYNECS, la résolution de ces problèmes dans un bref délai permettra "d'éviter toute perturbation dans le fonctionnement des activités académiques".