Ces jeunes filles et garçons, issus des différents ménages de la ville de Bébédjia, et des localités environnantes, sont victimes des grossesses précoces qui ont des impacts négatifs sur l’éducation en milieu scolaire. Certaines filles sont ainsi abandonnées par les parents et d’autres subissent des violences des parents dans les ménages.
La sensibilisation de proximité des femmes de l’Union en marche pour le développement de la Nya, qui s’inscrit dans le cadre du projet féministe en action, financé par l’ONG OXFAM, a permis la découverte des filles et garçons, victimes de grossesses précoces, et violences des parents.
Après le constat par les femmes du projet féministe en action, lors de la sensibilisation dans les quartiers et localités bénéficiaires du projet, la présidente de l’Union des femmes en marche pour le développement de la Nya, Rokoulet Nekian Brigitte, a multiplié des actions tout en créant un centre de club d’enfants pour parrainer les filles et garçons victimes des grossesses précoces et violences des parents.
Ces jeunes du centre sont encadrés pour une prise de conscience, afin qu’ils reprennent le chemin de l’école. Dans le même sillage, la présidente, avec l’appui de ses membres, a conseillé et expliqué aux parents auteurs des violences et abandons des enfants, les méfaits des grossesses précoces et violences sur les enfants.
Ce travail de sensibilisation de proximité des femmes de l’Union des femmes en marche pour le développement de la Nya, a abouti à un changement de comportement des parents dans les ménages, et à la reprise des cours à l’école par des filles et garçons victimes des grossesses précoces et violence des parents.
Ces filles et garçons ont témoigné sur le bien-fondé du projet féministe en action qui vient, à point nommé, renforcer leurs capacités à changer leurs comportements, car selon eux, la pérennisation de ce projet est à saluer.
Présents à ce témoignage des enfants, les chefs de villages de Dougabo et Mainani dans le canton Beboni et Bébédjia se sont relayés, tour à tour, pour témoigner de leurs reconnaissances envers l’ONG OXFAM pour son appui aux femmes, en vue de la réduction des grossesses précoces et violences faites aux enfants.
Pour eux, c’est un ouf de soulagement, car disent-ils, la pérennisation reste à atteindre par tous les ménages dans toutes localité de la Nya.
La sensibilisation de proximité des femmes de l’Union en marche pour le développement de la Nya, qui s’inscrit dans le cadre du projet féministe en action, financé par l’ONG OXFAM, a permis la découverte des filles et garçons, victimes de grossesses précoces, et violences des parents.
Après le constat par les femmes du projet féministe en action, lors de la sensibilisation dans les quartiers et localités bénéficiaires du projet, la présidente de l’Union des femmes en marche pour le développement de la Nya, Rokoulet Nekian Brigitte, a multiplié des actions tout en créant un centre de club d’enfants pour parrainer les filles et garçons victimes des grossesses précoces et violences des parents.
Ces jeunes du centre sont encadrés pour une prise de conscience, afin qu’ils reprennent le chemin de l’école. Dans le même sillage, la présidente, avec l’appui de ses membres, a conseillé et expliqué aux parents auteurs des violences et abandons des enfants, les méfaits des grossesses précoces et violences sur les enfants.
Ce travail de sensibilisation de proximité des femmes de l’Union des femmes en marche pour le développement de la Nya, a abouti à un changement de comportement des parents dans les ménages, et à la reprise des cours à l’école par des filles et garçons victimes des grossesses précoces et violence des parents.
Ces filles et garçons ont témoigné sur le bien-fondé du projet féministe en action qui vient, à point nommé, renforcer leurs capacités à changer leurs comportements, car selon eux, la pérennisation de ce projet est à saluer.
Présents à ce témoignage des enfants, les chefs de villages de Dougabo et Mainani dans le canton Beboni et Bébédjia se sont relayés, tour à tour, pour témoigner de leurs reconnaissances envers l’ONG OXFAM pour son appui aux femmes, en vue de la réduction des grossesses précoces et violences faites aux enfants.
Pour eux, c’est un ouf de soulagement, car disent-ils, la pérennisation reste à atteindre par tous les ménages dans toutes localité de la Nya.