Concernant les "menaces" qui émaneraient du Premier Ministre lors de la rencontre avec les syndicats des magistrats, les propos rapportés ont été jugés inacceptables et constitutifs de menaces envers la profession. Les magistrats considèrent que leurs revendications, basées sur des recommandations du DNIS et des communiqués de presse, ne sont en aucun cas d'ordre politique, mais plutôt liées à des améliorations professionnelles.
En ce qui concerne l'Arrêté N°7991/PT/PM/2023, les magistrats le considèrent comme illégal, car il a été pris par une autorité non habilitée, ne respectant pas les pouvoirs dévolus au Président du Supérieur de la Magistrature et à l'Inspection Générale des Services Judiciaires et Pénitentiaires. Ils considèrent cet arrêté comme une tentative de nuire à la profession, notamment par un contrôle spécial qui pourrait mener au départ de certains magistrats.
Face à ces situations, l'Assemblée Générale a pris des décisions importantes :
- La poursuite de la grève jusqu'à la satisfaction de toutes les revendications.
- Le refus de la participation des représentants des syndicats à la commission de contrôle.
- Le boycott du contrôle par tous les magistrats.
- Les magistrats ont également prévenu que toute éventuelle sanction basée sur cet arrêté illégal serait une atteinte à la liberté syndicale.
L'Assemblée Générale a sollicité l'implication personnelle du Président de la République, en tant que Chef de l'Etat et Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, pour trouver une solution acceptable.
Les deux bureaux syndicaux ont réaffirmé leur ouverture au dialogue malgré la situation tendue.
En ce qui concerne l'Arrêté N°7991/PT/PM/2023, les magistrats le considèrent comme illégal, car il a été pris par une autorité non habilitée, ne respectant pas les pouvoirs dévolus au Président du Supérieur de la Magistrature et à l'Inspection Générale des Services Judiciaires et Pénitentiaires. Ils considèrent cet arrêté comme une tentative de nuire à la profession, notamment par un contrôle spécial qui pourrait mener au départ de certains magistrats.
Face à ces situations, l'Assemblée Générale a pris des décisions importantes :
- La poursuite de la grève jusqu'à la satisfaction de toutes les revendications.
- Le refus de la participation des représentants des syndicats à la commission de contrôle.
- Le boycott du contrôle par tous les magistrats.
- Les magistrats ont également prévenu que toute éventuelle sanction basée sur cet arrêté illégal serait une atteinte à la liberté syndicale.
L'Assemblée Générale a sollicité l'implication personnelle du Président de la République, en tant que Chef de l'Etat et Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, pour trouver une solution acceptable.
Les deux bureaux syndicaux ont réaffirmé leur ouverture au dialogue malgré la situation tendue.