Cette conférence s’articule sur plusieurs thématiques, à savoir : examen et appréciation du retrait du Mali, examen de la proposition d’ouverture du CIP G5 Sahel aux pays limitrophes du Sahel, examen de la situation budgétaire 2022 et 2023 du G5, et décision sur la transformation du plan de CIP G5 en programme triennal d’actions propriétaires 2022-2025.
Le président du Comité Interparlementaire (CIP) du G5 Sahel, Seini Oumarou, explique que la problématique ayant présidé à la création du G5 Sahel, reste encore entière car l'hydre terroriste est toujours vivante.
Pour lui, il y a une certaine accalmie du côté du lit du Lac Tchad, mais la situation reste des plus préoccupantes dans la zone dite des "trois frontières". Il y devient de plus en plus perceptible que l'ennemi s'organise mieux et dispose de moyens de plus en plus importants ; plus grave encore, il s'attaque sans discernement aux populations civiles en tentant d'opposer entre elles, les communautés qui ont toujours vécu en toute symbiose et dans la coexistence pacifique.
Le CIP G5 Sahel se doit, sans tarder, de se donner les moyens de dérouler sa feuille de route auprès du secrétariat exécutif du G5 Sahel. Il nous faudrait, en priorité, disposer du tableau général de la situation sécuritaire dans notre zone, ensuite nous informer sur l'état de la Force conjointe, dont nous parlons assez souvent sans en connaître la réalité, rappelle Seini Oumarou.
Officiant la conférence, le président en exercice du CIP G5, Dr Haroun Kabadi, souligne que cette conférence des présidents des Parlements du G5 Sahel aurait dû se tenir depuis octobre 2021, conformément aux textes statutaires qui régissent l’Institution. Mais la survenance de plusieurs évènements, liés notamment aux divers acteurs endogènes et exogènes, n'ont pas permis de la tenir dans le temps et les délais prévus.
Il relève plusieurs difficultés que le Tchad rencontre entre autres, le changement climatique qui affecte dangereusement les moyens de production agro-sylvo-pastoral, le terrorisme et la pauvreté.
Au cours de cette conférence de deux jours, plusieurs thématiques seront débattues, notamment la présentation de la situation sécuritaire dans l’espace G5 Sahel, la présentation d’appel en faveur du Sahel et du projet de plan d’action, la présentation des initiatives du mécanisme de coordination des organisations parlementaires pour lutter contre le terrorisme, les échanges et orientations de la future grande rencontre parlementaire internationale sur le terrorisme et l’extrémisme violent par le mécanisme de coordination des organisations parlementaires pour la lutte contre le terrorisme, de concert avec le CIP G5 Sahel, le parlement de la CEDEAO et l’Union africaine.
Le président du Comité Interparlementaire (CIP) du G5 Sahel, Seini Oumarou, explique que la problématique ayant présidé à la création du G5 Sahel, reste encore entière car l'hydre terroriste est toujours vivante.
Pour lui, il y a une certaine accalmie du côté du lit du Lac Tchad, mais la situation reste des plus préoccupantes dans la zone dite des "trois frontières". Il y devient de plus en plus perceptible que l'ennemi s'organise mieux et dispose de moyens de plus en plus importants ; plus grave encore, il s'attaque sans discernement aux populations civiles en tentant d'opposer entre elles, les communautés qui ont toujours vécu en toute symbiose et dans la coexistence pacifique.
Le CIP G5 Sahel se doit, sans tarder, de se donner les moyens de dérouler sa feuille de route auprès du secrétariat exécutif du G5 Sahel. Il nous faudrait, en priorité, disposer du tableau général de la situation sécuritaire dans notre zone, ensuite nous informer sur l'état de la Force conjointe, dont nous parlons assez souvent sans en connaître la réalité, rappelle Seini Oumarou.
Officiant la conférence, le président en exercice du CIP G5, Dr Haroun Kabadi, souligne que cette conférence des présidents des Parlements du G5 Sahel aurait dû se tenir depuis octobre 2021, conformément aux textes statutaires qui régissent l’Institution. Mais la survenance de plusieurs évènements, liés notamment aux divers acteurs endogènes et exogènes, n'ont pas permis de la tenir dans le temps et les délais prévus.
Il relève plusieurs difficultés que le Tchad rencontre entre autres, le changement climatique qui affecte dangereusement les moyens de production agro-sylvo-pastoral, le terrorisme et la pauvreté.
Au cours de cette conférence de deux jours, plusieurs thématiques seront débattues, notamment la présentation de la situation sécuritaire dans l’espace G5 Sahel, la présentation d’appel en faveur du Sahel et du projet de plan d’action, la présentation des initiatives du mécanisme de coordination des organisations parlementaires pour lutter contre le terrorisme, les échanges et orientations de la future grande rencontre parlementaire internationale sur le terrorisme et l’extrémisme violent par le mécanisme de coordination des organisations parlementaires pour la lutte contre le terrorisme, de concert avec le CIP G5 Sahel, le parlement de la CEDEAO et l’Union africaine.