Par manque d'espace pour accueillir tous les sinistrés, l’État a envoyé une grande partie à Koundoul. Cette délocalisation n'est pas sans difficultés.
En effet, les familles sinistrées éprouvent d'énormes difficultés à l'arrivée. Situé à droite de la voie publique, à proximité du terrain de football, le site abrite provisoirement les sinistrés. Dès la descente des effets du véhicule, les chefs des familles doivent se débrouiller pour trouver des abris pour leur progéniture.
Cependant, des disputes ne tardent pas à se soulever entre sinistrés. C'est à l'aide des houes, pelles, râteaux que les victimes d'inondations se débrouillent pour ériger des tentes, sous un soleil de plomb. Quelques sinistrés, mères d'enfants racontent leur calvaire : « nous habitons Walia Hadjaraï, avant c'était les eaux pluviales qui nous inondaient, mais actuellement, l'eau de crue est venue ravager tous sans rien laisser ».
« Nous sommes des mères d'enfants, déplacées ici depuis cinq jours. Il n'y a pas de nourriture pour nous. Il faut manger de la patate douce chaque jour, c'est difficile pour des mères allaitantes. Nous demandons au gouvernement de nous aider à reconstruire nos maisons, et un peu d'argent pouvant nous aider à faire des petits commerces. Nous sommes des femmes battantes », lance une sinistrée.
Du côté des hommes, c'est l'aspect d'accueil qui préoccupe : « le gouvernement nous déplace d'un site à un autre, sans faire des tentes. Il faut aller au marché ou chez les autochtones demander des matériels afin d'ériger les abris. C'est trop difficile ». C'est à même le sol que ces sinistrés dorment.
En plus des besoins en denrées alimentaires, il est également urgent de leur fournir des moustiquaires, des effets de couchage pour lutter contre les intempéries comme le froid, et les moustiques. Le gouvernement doit donc doubler des efforts sur tous les plans, pour sauver des vies. Il faut surtout se pencher sur les aides à l'endroit des familles sinistrés, afin de reconstruire leurs maisons. Par ailleurs, les sites abritant les sinistrés doivent être faites à l'avance.
En effet, les familles sinistrées éprouvent d'énormes difficultés à l'arrivée. Situé à droite de la voie publique, à proximité du terrain de football, le site abrite provisoirement les sinistrés. Dès la descente des effets du véhicule, les chefs des familles doivent se débrouiller pour trouver des abris pour leur progéniture.
Cependant, des disputes ne tardent pas à se soulever entre sinistrés. C'est à l'aide des houes, pelles, râteaux que les victimes d'inondations se débrouillent pour ériger des tentes, sous un soleil de plomb. Quelques sinistrés, mères d'enfants racontent leur calvaire : « nous habitons Walia Hadjaraï, avant c'était les eaux pluviales qui nous inondaient, mais actuellement, l'eau de crue est venue ravager tous sans rien laisser ».
« Nous sommes des mères d'enfants, déplacées ici depuis cinq jours. Il n'y a pas de nourriture pour nous. Il faut manger de la patate douce chaque jour, c'est difficile pour des mères allaitantes. Nous demandons au gouvernement de nous aider à reconstruire nos maisons, et un peu d'argent pouvant nous aider à faire des petits commerces. Nous sommes des femmes battantes », lance une sinistrée.
Du côté des hommes, c'est l'aspect d'accueil qui préoccupe : « le gouvernement nous déplace d'un site à un autre, sans faire des tentes. Il faut aller au marché ou chez les autochtones demander des matériels afin d'ériger les abris. C'est trop difficile ». C'est à même le sol que ces sinistrés dorment.
En plus des besoins en denrées alimentaires, il est également urgent de leur fournir des moustiquaires, des effets de couchage pour lutter contre les intempéries comme le froid, et les moustiques. Le gouvernement doit donc doubler des efforts sur tous les plans, pour sauver des vies. Il faut surtout se pencher sur les aides à l'endroit des familles sinistrés, afin de reconstruire leurs maisons. Par ailleurs, les sites abritant les sinistrés doivent être faites à l'avance.