Les délégués des évêques constatent que "le caractère inclusif et souverain de ce dialogue s’effrite", selon une déclaration.
"Il n'y a pas eu de dialogue. Pour nous, le dialogue se fonde sur l'écoute réciproque. (...) Nous avons l'impression d'assister à une campagne électorale avec d'un côté ceux qui soutiennent le changement et un renouvellement de la classe politique, et de l'autre, ceux qui veulent continuer en mettant une machine savamment orchestrée", affirment-ils.
Les évêques dénoncent un spectacle auquel ils ont assisté et une crise de confiance qui s'est installée . Ils affirment ne pas vouloir apparaître comme ceux qui soutiennent une partie contre une autre. Les délégués des évêques précisent que cette déclaration n'engagent qu'eux et non les laïcs catholiques, à moins qu'ils ne rejoignent leur position.
"Il n'y a pas eu de dialogue. Pour nous, le dialogue se fonde sur l'écoute réciproque. (...) Nous avons l'impression d'assister à une campagne électorale avec d'un côté ceux qui soutiennent le changement et un renouvellement de la classe politique, et de l'autre, ceux qui veulent continuer en mettant une machine savamment orchestrée", affirment-ils.
Les évêques dénoncent un spectacle auquel ils ont assisté et une crise de confiance qui s'est installée . Ils affirment ne pas vouloir apparaître comme ceux qui soutiennent une partie contre une autre. Les délégués des évêques précisent que cette déclaration n'engagent qu'eux et non les laïcs catholiques, à moins qu'ils ne rejoignent leur position.