Dans les différentes villes du département de la Nya, le phénomène est récurrent dans la province du Logone oriental. Tout serait parti de la consommation abusive d'alcool par les jeunes dans les cabarets. Or, au temps de nos grands-parents, les jeunes respectaient leurs parents, les mœurs et les coutumes.
De plus, ils ne consommaient pas d'alcool, ou le faisaient de manière cachée. Il n'y avait pas de cas de tueries dans les débits de boissons. On se pose donc la question : est-ce que l'avènement de la démocratie par le défunt maréchal Idriss Deby Itno depuis 1990, donnant une liberté totale aux jeunes sur différents plans, en est la cause ? Ou bien est-ce le non-respect des mœurs par les jeunes de nos jours dans les villages qui en est à l'origine ?
À titre d'exemple, le 16 juin 2024, à Miandoum, une localité située à 11 km au sud de la ville de Bébédjia, a enregistré un cas de tuerie entre jeunes dans un cabaret. De manière détaillée, une dispute sur la relique de 500 FCFA entre un vendeur de boissons frelatées et un client au cabaret de Miandoum s'est soldée par la mort d'un jeune homme.
Le deuxième cas, en date du 20 juin 2024, concerne une discussion dans un cabaret dans le quartier Bedaninga dans la ville de Bébédjia, où un jeune a tué un autre jeune, avec plusieurs coups de couteau.
Face à ces cas récurrents dans la Nya, quelles seraient les mesures des autorités départementales, traditionnelles, provinciales et nationales afin d'instaurer la paix, la cohabitation pacifique, la cohésion sociale et le vivre-ensemble parmi les jeunes ?
Ce phénomène interpelle aussi les parents pour une bonne éducation de base, ainsi que les associations, groupements et organisations non gouvernementales (ONG), pour une large sensibilisation des jeunes à travers des causeries-débats, des lieux publics et de proximité, afin d'inculquer aux jeunes une culture de l'amour du prochain.
De plus, ils ne consommaient pas d'alcool, ou le faisaient de manière cachée. Il n'y avait pas de cas de tueries dans les débits de boissons. On se pose donc la question : est-ce que l'avènement de la démocratie par le défunt maréchal Idriss Deby Itno depuis 1990, donnant une liberté totale aux jeunes sur différents plans, en est la cause ? Ou bien est-ce le non-respect des mœurs par les jeunes de nos jours dans les villages qui en est à l'origine ?
À titre d'exemple, le 16 juin 2024, à Miandoum, une localité située à 11 km au sud de la ville de Bébédjia, a enregistré un cas de tuerie entre jeunes dans un cabaret. De manière détaillée, une dispute sur la relique de 500 FCFA entre un vendeur de boissons frelatées et un client au cabaret de Miandoum s'est soldée par la mort d'un jeune homme.
Le deuxième cas, en date du 20 juin 2024, concerne une discussion dans un cabaret dans le quartier Bedaninga dans la ville de Bébédjia, où un jeune a tué un autre jeune, avec plusieurs coups de couteau.
Face à ces cas récurrents dans la Nya, quelles seraient les mesures des autorités départementales, traditionnelles, provinciales et nationales afin d'instaurer la paix, la cohabitation pacifique, la cohésion sociale et le vivre-ensemble parmi les jeunes ?
Ce phénomène interpelle aussi les parents pour une bonne éducation de base, ainsi que les associations, groupements et organisations non gouvernementales (ONG), pour une large sensibilisation des jeunes à travers des causeries-débats, des lieux publics et de proximité, afin d'inculquer aux jeunes une culture de l'amour du prochain.