Sabotage en pleine capitale. Les lampadaires sur les grandes voies de circulation sont détruits, les lampes brisées, les poteaux endommagés, des faits visibles dans plusieurs zones de la ville. Pourquoi de tels actes de sabotage, alors que ces infrastructures sont censées garantir la sécurité publique ?
Entre manque de conscience quant à la protection des biens publics et le banditisme, cette situation devient un réel handicap pour le pays. Des individus mal intentionnés s'offrent le luxe de vandaliser les lampadaires en sectionnant les câbles électriques pour des raisons qui leur sont propres.
Plusieurs lampadaires sur les grandes voies ne fonctionnent plus à cause de ces comportements destructeurs. Ces citoyens, devenus ennemis du bien public, sabotent les installations pour opérer dans l’obscurité, facilitant ainsi des actes de vol, de braquage et d’embuscades. Il existe également un manque de suivi de la part de certains services publics, notamment la Société Nationale d'Électricité (SNE).
De nombreux lampadaires, après avoir été installés, sont laissés à l'abandon. Certains, endommagés par des accidents de la route, restent inutilisés, créant des zones d'obscurité là où il y avait autrefois de la lumière. L'absence de maintenance régulière aggrave la situation, les lampes défectueuses ne sont pas remplacées, et l'obscurité prend peu à peu le dessus sur certaines artères de la capitale. Pourquoi tant de négligence dans la protection des biens publics ?
Cette insouciance se manifeste également dans l'état de certains bâtiments publics délabrés, sans que cela n'inquiète les autorités responsables de leur entretien. Il est donc impératif de mettre en place des mesures pour prévenir ces comportements de sabotage qui nuisent à l’intérêt collectif. Une campagne de sensibilisation rigoureuse est nécessaire pour changer les mentalités et encourager la protection des biens publics.
Entre manque de conscience quant à la protection des biens publics et le banditisme, cette situation devient un réel handicap pour le pays. Des individus mal intentionnés s'offrent le luxe de vandaliser les lampadaires en sectionnant les câbles électriques pour des raisons qui leur sont propres.
Plusieurs lampadaires sur les grandes voies ne fonctionnent plus à cause de ces comportements destructeurs. Ces citoyens, devenus ennemis du bien public, sabotent les installations pour opérer dans l’obscurité, facilitant ainsi des actes de vol, de braquage et d’embuscades. Il existe également un manque de suivi de la part de certains services publics, notamment la Société Nationale d'Électricité (SNE).
De nombreux lampadaires, après avoir été installés, sont laissés à l'abandon. Certains, endommagés par des accidents de la route, restent inutilisés, créant des zones d'obscurité là où il y avait autrefois de la lumière. L'absence de maintenance régulière aggrave la situation, les lampes défectueuses ne sont pas remplacées, et l'obscurité prend peu à peu le dessus sur certaines artères de la capitale. Pourquoi tant de négligence dans la protection des biens publics ?
Cette insouciance se manifeste également dans l'état de certains bâtiments publics délabrés, sans que cela n'inquiète les autorités responsables de leur entretien. Il est donc impératif de mettre en place des mesures pour prévenir ces comportements de sabotage qui nuisent à l’intérêt collectif. Une campagne de sensibilisation rigoureuse est nécessaire pour changer les mentalités et encourager la protection des biens publics.