Bien que le Tchad se classe parmi les pays où la connexion à Internet est la plus chère et souffre d'une mauvaise qualité de réseau, il est indéniable que la majorité des jeunes âgés de 14 à 16 ans utilisent un téléphone androïde et possèdent des comptes dans les différents réseaux sociaux. Cependant, de nombreux parents ne savent pas avec qui leurs enfants interagissent sur les réseaux sociaux.
Ce lieu de rencontre virtuelle n'est pas sans conséquences. En effet, les enfants se retrouvent sans défense face aux influences incontrôlées des réseaux sociaux, sans qu'il existe d'âge légal pour ouvrir un compte sur ces plateformes. Cette situation les entraîne parfois sur une mauvaise voie et peut avoir un impact négatif sur leur éducation.
Une question pertinente se pose alors : comment les enfants issus de familles modestes parviennent-ils à se procurer des téléphones haut de gamme coûtant entre 75 000 et 100 000 F CFA ? Une somme qui pourrait être mieux utilisée dans des activités commerciales. Néanmoins, le téléphone a une grande valeur à N'Djaména. Pour se connecter, il faut débourser 1250 F CFA pour un giga, soit 37 500 F CFA par mois. Les jeunes enfants issus de familles modestes sont ainsi exclus d'une connexion quotidienne.
L'inquiétude actuelle concerne la rapidité avec laquelle les jeunes enfants se précipitent sur les réseaux sociaux, ce qui nécessite une éducation sur l'utilisation responsable des médias sociaux. En premier lieu, les parents doivent garder un œil attentif sur l'écran des téléphones de leurs enfants. Cette attention parentale est la meilleure solution pour éviter les mauvaises fréquentations en ligne. Parallèlement, il est essentiel que les pouvoirs publics travaillent à peaufiner une législation afin de mieux protéger les jeunes enfants. Il serait également judicieux de développer des réseaux sociaux spécifiquement adaptés aux enfants.
À l'ère numérique, il est difficile d'empêcher les enfants de se connecter au monde virtuel. Cependant, un contrôle strict est nécessaire pour éviter les dérives et protéger leur bien-être en ligne.
Ce lieu de rencontre virtuelle n'est pas sans conséquences. En effet, les enfants se retrouvent sans défense face aux influences incontrôlées des réseaux sociaux, sans qu'il existe d'âge légal pour ouvrir un compte sur ces plateformes. Cette situation les entraîne parfois sur une mauvaise voie et peut avoir un impact négatif sur leur éducation.
Une question pertinente se pose alors : comment les enfants issus de familles modestes parviennent-ils à se procurer des téléphones haut de gamme coûtant entre 75 000 et 100 000 F CFA ? Une somme qui pourrait être mieux utilisée dans des activités commerciales. Néanmoins, le téléphone a une grande valeur à N'Djaména. Pour se connecter, il faut débourser 1250 F CFA pour un giga, soit 37 500 F CFA par mois. Les jeunes enfants issus de familles modestes sont ainsi exclus d'une connexion quotidienne.
L'inquiétude actuelle concerne la rapidité avec laquelle les jeunes enfants se précipitent sur les réseaux sociaux, ce qui nécessite une éducation sur l'utilisation responsable des médias sociaux. En premier lieu, les parents doivent garder un œil attentif sur l'écran des téléphones de leurs enfants. Cette attention parentale est la meilleure solution pour éviter les mauvaises fréquentations en ligne. Parallèlement, il est essentiel que les pouvoirs publics travaillent à peaufiner une législation afin de mieux protéger les jeunes enfants. Il serait également judicieux de développer des réseaux sociaux spécifiquement adaptés aux enfants.
À l'ère numérique, il est difficile d'empêcher les enfants de se connecter au monde virtuel. Cependant, un contrôle strict est nécessaire pour éviter les dérives et protéger leur bien-être en ligne.