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Tchad : trois œuvres primées dans un festival littéraire
Tchad : trois œuvres primées dans un festival littéraire. © Alwihda Info
L’association des écrivains et auteurs tchadiens d’expression française (ASEAT) a clos hier, samedi 15 décembre, au Centre Culturel de N’Djamena, la 5ème édition du festival littéraire « le souffle de l’Harmattan », placé sous le thème : « la littérature tchadienne en quête d’excellence ».
L'association a décernée des prix littéraires aux meilleurs lauréats pour les encourager à pérenniser la quête de l’excellence dans la présentation des œuvres littéraires.
Le jury a enregistré au cours de cette compétition littéraire 83 textes qui ont été déposés par différents écrivains. De nombreux thèmes ont été développés à travers des idées riches et variées pour faire découvrir la littérature tchadienne. Les trois meilleures œuvres littéraires ont reçu le « prix des enfants de Toumai » du jury.
Le premier prix a été décerné au journaliste Deli Saizoumi Nestor pour son texte « Pour l’honneur de ma famille . Il a obtenu une récompense de 500.000 Francs CFA. Il est secondé par Djimbaye Djetadom pour son texte « Briseuse de mariage d’enfant ». Il a empoché la somme de 300.000 Francs CFA. Le prix du troisième lauréat revient à Oumar Abdelbanat pour son texte « Le linge sale ». Il a reçu une récompense de 150.000 Francs CFA.
Cinq autres auteurs qui n’ont pas démérité ont été pris en compte par le jury. Leurs textes seront publiés dans la même collection que les trois lauréats.
Par ailleurs, un prix spécial intitulé Mbaibe Guentar Beba, a été attribué à Pado-Abdekerim Seidna Saleh. Il a reçu une récompense de 300.000 F CFA.
L'association a décernée des prix littéraires aux meilleurs lauréats pour les encourager à pérenniser la quête de l’excellence dans la présentation des œuvres littéraires.
Le jury a enregistré au cours de cette compétition littéraire 83 textes qui ont été déposés par différents écrivains. De nombreux thèmes ont été développés à travers des idées riches et variées pour faire découvrir la littérature tchadienne. Les trois meilleures œuvres littéraires ont reçu le « prix des enfants de Toumai » du jury.
Le premier prix a été décerné au journaliste Deli Saizoumi Nestor pour son texte « Pour l’honneur de ma famille . Il a obtenu une récompense de 500.000 Francs CFA. Il est secondé par Djimbaye Djetadom pour son texte « Briseuse de mariage d’enfant ». Il a empoché la somme de 300.000 Francs CFA. Le prix du troisième lauréat revient à Oumar Abdelbanat pour son texte « Le linge sale ». Il a reçu une récompense de 150.000 Francs CFA.
Cinq autres auteurs qui n’ont pas démérité ont été pris en compte par le jury. Leurs textes seront publiés dans la même collection que les trois lauréats.
Par ailleurs, un prix spécial intitulé Mbaibe Guentar Beba, a été attribué à Pado-Abdekerim Seidna Saleh. Il a reçu une récompense de 300.000 F CFA.
Le secrétaire général de l’ASEAT, Sosthène Mbernodji, par ailleurs directeur artistique du festival littéraire, a invité les écrivains présents à s’impliquer dans les activités littéraires au Tchad pour redorer le blason du système éducatif. Il a appelé à maintenir la flamme de la culture au berceau de l’humanité.
Pour sa part, le directeur du livre, des arts et du spectacle, Mbailassem Mbayo Vincent de l'association a affirmé que la littérature tchadienne est vieille de 50 ans et dispose d’un corpus considérable qui s’agrandit. D'après lui, la littérature participe à la prise de conscience des différences, à la connaissance mutuelle et à l’ouverture des esprits. Elle est donc un tremplin de la réussite et de l'éveil des consciences.
La 5ème édition du festival littéraire a vu la participation d'écrivains de renom et de chercheurs de la Côte d’Ivoire et du Cameroun, ainsi que d'amis venus de Koumra, Moundou, Bénoye, Pala et Kélo. Cette édition est parrainée par l’écrivain français Thomas Dietrich. Il a obtenu une distinction de reconnaissance pour son engagement au Tchad dans la promotion des œuvres littéraires.
Pour sa part, le directeur du livre, des arts et du spectacle, Mbailassem Mbayo Vincent de l'association a affirmé que la littérature tchadienne est vieille de 50 ans et dispose d’un corpus considérable qui s’agrandit. D'après lui, la littérature participe à la prise de conscience des différences, à la connaissance mutuelle et à l’ouverture des esprits. Elle est donc un tremplin de la réussite et de l'éveil des consciences.
La 5ème édition du festival littéraire a vu la participation d'écrivains de renom et de chercheurs de la Côte d’Ivoire et du Cameroun, ainsi que d'amis venus de Koumra, Moundou, Bénoye, Pala et Kélo. Cette édition est parrainée par l’écrivain français Thomas Dietrich. Il a obtenu une distinction de reconnaissance pour son engagement au Tchad dans la promotion des œuvres littéraires.
