
C'est une mise en garde du gouvernement par les membres de la famille de feu Allaramadji Philippe, lors d'un point-presse ce mercredi matin, à la radio FM Liberté. Le défunt Allaramadji en effet, était le chef de canton « élu » de Békourou.
A sa mort, la famille a désigné unanimement Nguelbet Koulingar Hubert pour lui succéder. Les autorités locales ont transmis (avec avis favorable) le procès-verbal de la désignation au ministère de l'Administration territoriale pour compétence.
Au ministère, « une manigance et une injustice incompréhensible se développent causant donc un blocage du dossier », renseigne Ndomasse Bétoloum Kormou Nguehelbé.
Le ministère envisagerait plutôt « imposer » Dadjim Blague comme chef du canton Békourou. Dadjim a perdu l'élection l'ayant opposé au défunt chef de canton. « N'ayant pas obtenu justice après usé de tous les recours légaux, il a tenté de faire imposer pour la première fois sous Déby père », informe Ndomasse Bétoloum Kormou Nguehelbé.
Face à un risque « d'affrontement intercommunautaire et à l’irresponsabilité du ministère de l'Administration qui se torche de la loi régissant la chefferie traditionnelle, la famille sollicite l'arbitrage du président de transition ».
A sa mort, la famille a désigné unanimement Nguelbet Koulingar Hubert pour lui succéder. Les autorités locales ont transmis (avec avis favorable) le procès-verbal de la désignation au ministère de l'Administration territoriale pour compétence.
Au ministère, « une manigance et une injustice incompréhensible se développent causant donc un blocage du dossier », renseigne Ndomasse Bétoloum Kormou Nguehelbé.
Le ministère envisagerait plutôt « imposer » Dadjim Blague comme chef du canton Békourou. Dadjim a perdu l'élection l'ayant opposé au défunt chef de canton. « N'ayant pas obtenu justice après usé de tous les recours légaux, il a tenté de faire imposer pour la première fois sous Déby père », informe Ndomasse Bétoloum Kormou Nguehelbé.
Face à un risque « d'affrontement intercommunautaire et à l’irresponsabilité du ministère de l'Administration qui se torche de la loi régissant la chefferie traditionnelle, la famille sollicite l'arbitrage du président de transition ».