"Depuis hier soir, après la présentation du comité ad hoc, il y a un comportement qui n'est pas citoyen. Il y en a qui sont en train de proférer des menaces pour certaines positions. Je crois qu'il y a une disposition du règlement intérieur qui dit que nul ne doit être condamné pour sa position par rapport au dialogue", a affirmé Dionlel Alain.
"Il faudrait que le Présidium attire l'attention de ceux qui sont en train de pratiquer ce comportement. Ce n'est pas du tout démocratique. Quelle que soit sa position, on doit accepter celle de l'autre mais lorsqu'il y en a qui sont en train de menacer d'autres pour leurs positions, je trouve que ce n'est pas idéal", a ajouté Dionlel Alain.
Le président du Présidium, Gali Ngothé Gatha, a exprimé son étonnement et a adressé une mise en garde à la plénière : "j'ai cru comprendre que depuis quelques jours que nous travaillons, nous étions devenus des frères. Entre des frères, il peut y avoir des contradictions mais ça ne se résous pas par les méthodes que vous connaissez. Je demande donc de la responsabilité et du respect de l'autre pour la suite de nos débats. Nous sommes des frères, la plénière est entièrement souveraine".
"Il faudrait que le Présidium attire l'attention de ceux qui sont en train de pratiquer ce comportement. Ce n'est pas du tout démocratique. Quelle que soit sa position, on doit accepter celle de l'autre mais lorsqu'il y en a qui sont en train de menacer d'autres pour leurs positions, je trouve que ce n'est pas idéal", a ajouté Dionlel Alain.
Le président du Présidium, Gali Ngothé Gatha, a exprimé son étonnement et a adressé une mise en garde à la plénière : "j'ai cru comprendre que depuis quelques jours que nous travaillons, nous étions devenus des frères. Entre des frères, il peut y avoir des contradictions mais ça ne se résous pas par les méthodes que vous connaissez. Je demande donc de la responsabilité et du respect de l'autre pour la suite de nos débats. Nous sommes des frères, la plénière est entièrement souveraine".