Le directeur de la zone Sud des Brasseries du Tchad (BDT), Kaguer Nargaye, a indiqué lundi, lors d'une rencontre à Moundou avec les représentants des détenteurs de bars, les grossistes et les consommateurs, que l'entreprise ne vend plus suite à leur boycott. 
   
Depuis la hausse des prix annoncée par les BDT le 2 janvier 2020, les grossistes et détaillants sont en grève.
   
« Nous continuions à produire depuis trois semaines et celle-ci est la dernière semaine. Nous allons arrêter de produire », a-t-il expliqué.
   
La suspension de la production pourrait entrainer plusieurs conséquences, notamment la compression d'une partie du personnel. "La crise va traverser toute la ville", a-t-il souligné.
   
« L’Etat perdra ce qu’on lui paie en terme de taxes. Sur l’ensemble du territoire, c’est environs 2 milliards de francs CFA par mois », a affirmé le directeur de la zone Sud des BDT qui déplore les conséquences qui en découleront.
   
Kaguer Nargaye a émis le souhait que l’Etat revienne sur sa décision afin que les BDT revoient les prix à la baisse, "sinon la situation est très grave", a-t-il-dit.
   
En gardant ces prix, les BDT risquent de perdre 50% de volumes enregistrés.
			 Depuis la hausse des prix annoncée par les BDT le 2 janvier 2020, les grossistes et détaillants sont en grève.
« Nous continuions à produire depuis trois semaines et celle-ci est la dernière semaine. Nous allons arrêter de produire », a-t-il expliqué.
La suspension de la production pourrait entrainer plusieurs conséquences, notamment la compression d'une partie du personnel. "La crise va traverser toute la ville", a-t-il souligné.
« L’Etat perdra ce qu’on lui paie en terme de taxes. Sur l’ensemble du territoire, c’est environs 2 milliards de francs CFA par mois », a affirmé le directeur de la zone Sud des BDT qui déplore les conséquences qui en découleront.
Kaguer Nargaye a émis le souhait que l’Etat revienne sur sa décision afin que les BDT revoient les prix à la baisse, "sinon la situation est très grave", a-t-il-dit.
En gardant ces prix, les BDT risquent de perdre 50% de volumes enregistrés.
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 Tchad : vers un arrêt de production de certaines boissons suite à la crise
 
				 Tchad : vers un arrêt de production de certaines boissons suite à la crise
			 
 

 
					  
 
					  
 
					  
 
					  






