Dans son discours d'ouverture, Madame Muriel Kobena, coordonnatrice de la lutte contre les violences basées sur le genre à l'UNFPA, a souligné que la violence basée sur le genre reste l'un des plus grands défis de protection auxquels sont confrontés les individus, les femmes et les communautés au Tchad. Elle a affirmé que la prévention et la réponse à ces violences sont des questions fondamentales pour le développement du pays. Elle a également souligné la nécessité d'une coordination entre tous les acteurs impliqués dans la prévention et la prise en charge des violences basées sur le genre.
Madame Kobena a rappelé que le Tchad avait élaboré sa SNVBVG en 2011 et l'avait révisée en 2022. Cette stratégie nationale vise à lutter contre toutes les formes de violence et contribuera aux avancées en matière d'égalité des genres et de droits des femmes dans tous les domaines de développement.
Madame Kobena a rappelé que le Tchad avait élaboré sa SNVBVG en 2011 et l'avait révisée en 2022. Cette stratégie nationale vise à lutter contre toutes les formes de violence et contribuera aux avancées en matière d'égalité des genres et de droits des femmes dans tous les domaines de développement.
La Secrétaire Générale du ministère de la Femme, de la Protection de la Petite Enfance et de la Solidarité Nationale, Apolline Moudelbaye, représentant la ministre, a souligné que la lutte contre les violations des droits humains est une grande cause internationale. Elle a noté les avancées réalisées par le gouvernement du Tchad en matière juridique, stratégique, opérationnelle et structurelle dans cette lutte. Elle a également expliqué que le plan d'action quinquennal élaboré permettra de coordonner les efforts de différents acteurs sous la direction du ministère.
La Secrétaire Générale a rappelé que le développement durable ne peut être atteint sans l'élimination des inégalités entre les sexes et la promotion des droits humains. Elle a encouragé les participants à contribuer activement à cet atelier, qui durera deux jours.
La Secrétaire Générale a rappelé que le développement durable ne peut être atteint sans l'élimination des inégalités entre les sexes et la promotion des droits humains. Elle a encouragé les participants à contribuer activement à cet atelier, qui durera deux jours.