
Des détenus au Tchad. Illustration © Béchir Badjoury/Alwihda Info
Le directeur de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale, Madnangar Mbaissanbe, a énuméré jeudi une série de règles à suivre pour toute visite d'une personne détenue.
Selon lui, dans le cadre de la visite des personnes détenues incarcérées à la maison d'arrêt de N'Djamena, il a été constaté que bon nombre de visiteurs procèdent allègrement sans pour autant respecter les normes y relatives, créant un désordre au sein de ladite maison d'arrêt.
Afin d'éviter ces désordres qui sont souvent les causes d'évasions et d'incidents à la maison d'arrêt, à compter du 20 août 2020, toute visite d'une personne détenue doit suivre les règles ci-après :
- Les autorisations de visite des condamnés se prennent obligatoirement auprès du directeur de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale ;
- celles des prévenus et des contraints par corps sont délivrés par le Parquet d'instance de N'Djamena ;
- celles des inculpés se prennent auprès des juges d'instruction ;
- celles des mineurs se prennent auprès du juge pour enfant.
"Le régisseur de la maison d'arrêt de N'Djamena et ses adjoints sont instruits au strict respect de la présente note circulaire qui ne doit souffrir d'aucune ambiguïté", selon Madnangar Mbaissanbe.
Selon lui, dans le cadre de la visite des personnes détenues incarcérées à la maison d'arrêt de N'Djamena, il a été constaté que bon nombre de visiteurs procèdent allègrement sans pour autant respecter les normes y relatives, créant un désordre au sein de ladite maison d'arrêt.
Afin d'éviter ces désordres qui sont souvent les causes d'évasions et d'incidents à la maison d'arrêt, à compter du 20 août 2020, toute visite d'une personne détenue doit suivre les règles ci-après :
- Les autorisations de visite des condamnés se prennent obligatoirement auprès du directeur de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale ;
- celles des prévenus et des contraints par corps sont délivrés par le Parquet d'instance de N'Djamena ;
- celles des inculpés se prennent auprès des juges d'instruction ;
- celles des mineurs se prennent auprès du juge pour enfant.
"Le régisseur de la maison d'arrêt de N'Djamena et ses adjoints sont instruits au strict respect de la présente note circulaire qui ne doit souffrir d'aucune ambiguïté", selon Madnangar Mbaissanbe.