L'incident, qui s'est déroulé dans les rues de Tripoli, soulève de vives inquiétudes quant au traitement des personnes vulnérables, en particulier des enfants. L'auteure du texte met en évidence que la mendicité, même si elle peut être considérée comme un délit, ne justifie pas un tel niveau de violence, surtout à l'égard d'une fille déplacée, potentiellement orpheline ou mineure non accompagnée, ayant fui la guerre au Soudan.
Le texte dénonce le fait qu'après avoir été abandonnée par les organisations de protection (HCR, UNICEF, OIM), la jeune fille ait été contrainte de mendier pour survivre. Au lieu de recevoir de l'aide, elle a été soumise à des "traitements humiliants et violents".
Le message insiste sur le fait que de telles scènes ne peuvent rester sans conséquences. Il rappelle que le traitement des enfants doit être empreint de soin et de respect, et que des unités de police féminines sont spécifiquement formées pour gérer de tels cas.
