
Le Sénat tchadien, via sa Présidente de la Commission des Affaires Étrangères et des Tchadiens de l’Étranger, sénatrice Mariam Ahmat Djemil, a réagi fermement à la déclaration de la présidente de la Commission des Affaires Étrangères du Sénat américain, exigeant la libération immédiate de Succès Masra, président du parti Les Transformateurs.
Dans un communiqué officiel, le Sénat tchadien exprime sa vive désapprobation face à cette ingérence, rappelant que l’arrestation de M. Masra s’inscrit dans le cadre d’une procédure judiciaire en cours pour incitation à la haine ayant entraîné des violences intercommunautaires. Le Tchad affirme avoir agi légalement, conformément à ses lois nationales et à ses engagements internationaux en matière de droits humains.
La sénatrice Djemil souligne que toute pression étrangère portant atteinte à l’indépendance de la justice constitue une violation du droit international, du principe de non-ingérence et de la souveraineté nationale. Toutefois, elle réaffirme l’attachement du Tchad aux principes démocratiques, à l’état de droit et à la protection des droits fondamentaux, tout en déclinant toute forme de censure partielle ou d’intervention unilatérale provenant de l’étranger.
Le communiqué conclut en réaffirmant la volonté du Tchad d’engager un dialogue constructif et respectueux avec ses partenaires internationaux, fondé sur la souveraineté, le respect mutuel et la coopération équilibrée.
Dans un communiqué officiel, le Sénat tchadien exprime sa vive désapprobation face à cette ingérence, rappelant que l’arrestation de M. Masra s’inscrit dans le cadre d’une procédure judiciaire en cours pour incitation à la haine ayant entraîné des violences intercommunautaires. Le Tchad affirme avoir agi légalement, conformément à ses lois nationales et à ses engagements internationaux en matière de droits humains.
La sénatrice Djemil souligne que toute pression étrangère portant atteinte à l’indépendance de la justice constitue une violation du droit international, du principe de non-ingérence et de la souveraineté nationale. Toutefois, elle réaffirme l’attachement du Tchad aux principes démocratiques, à l’état de droit et à la protection des droits fondamentaux, tout en déclinant toute forme de censure partielle ou d’intervention unilatérale provenant de l’étranger.
Le communiqué conclut en réaffirmant la volonté du Tchad d’engager un dialogue constructif et respectueux avec ses partenaires internationaux, fondé sur la souveraineté, le respect mutuel et la coopération équilibrée.