Le Secrétariat permanent de la Commission nationale pour les Réfugiés (SP/ CONAREF) a organisé, le jeudi 4 décembre 2025 à Ouagadougou, une session d'informations à l'intention des acteurs du secteur privé.
L'initiative vise à lever les obstacles liés à la non-reconnaissance des documents délivrés par l'État burkinabè, afin d'établir un cadre propice à une véritable inclusion, et à offrir de nouvelles opportunités aux réfugiés et demandeurs d'asile enregistrés au Burkina Faso.
Lors de son discours d’ouverture, l'ambassadeur Seydou Sinka, chargé de mission auprès du ministre des Affaires étrangères, a souligné l'importance de la couverture juridique et administrative en matière de protection internationale, avant de préciser que cette protection dans notre pays se concrétise notamment par la délivrance de documents officiels par l’État burkinabè”.
Il a rappelé également que le processus de reconnaissance des documents officiels résulte d'une collaboration étroite entre l’État et les différentes structures privées, tout en les invitant à reconnaître ces documents afin d'optimiser la participation des Réfugiés dans le processus de développement engagé dans notre pays.
De son côté, Paul Dime, représentant du HCR, a salué la solidarité constante et l'hospitalité témoignée par le peuple et les autorités burkinabè envers les Réfugiés, soulignant l'importance de la reconnaissance des documents delivrés aux personnes déplacées de force par les institutions publiques et privées du Burkina Faso.
Le Secrétaire permanent de la CONAREF, l’ambassadeur Vlé Fulbert Traore a, pour sa part, précisé que cette session d'informations a permis d'expliquer aux acteurs privés la nature des documents établis par l’État burkinabè au profit des réfugiés. Il les a invités à s’approprier ces documents en vue de faciliter l’intégration socio-économique des réfugiés et des demandeurs d'asile au Burkina Faso.
Il faut noter que les documents délivrés sont entre autres la carte d’identité des réfugiés et le titre de voyage des réfugiés.
L'initiative vise à lever les obstacles liés à la non-reconnaissance des documents délivrés par l'État burkinabè, afin d'établir un cadre propice à une véritable inclusion, et à offrir de nouvelles opportunités aux réfugiés et demandeurs d'asile enregistrés au Burkina Faso.
Lors de son discours d’ouverture, l'ambassadeur Seydou Sinka, chargé de mission auprès du ministre des Affaires étrangères, a souligné l'importance de la couverture juridique et administrative en matière de protection internationale, avant de préciser que cette protection dans notre pays se concrétise notamment par la délivrance de documents officiels par l’État burkinabè”.
Il a rappelé également que le processus de reconnaissance des documents officiels résulte d'une collaboration étroite entre l’État et les différentes structures privées, tout en les invitant à reconnaître ces documents afin d'optimiser la participation des Réfugiés dans le processus de développement engagé dans notre pays.
De son côté, Paul Dime, représentant du HCR, a salué la solidarité constante et l'hospitalité témoignée par le peuple et les autorités burkinabè envers les Réfugiés, soulignant l'importance de la reconnaissance des documents delivrés aux personnes déplacées de force par les institutions publiques et privées du Burkina Faso.
Le Secrétaire permanent de la CONAREF, l’ambassadeur Vlé Fulbert Traore a, pour sa part, précisé que cette session d'informations a permis d'expliquer aux acteurs privés la nature des documents établis par l’État burkinabè au profit des réfugiés. Il les a invités à s’approprier ces documents en vue de faciliter l’intégration socio-économique des réfugiés et des demandeurs d'asile au Burkina Faso.
Il faut noter que les documents délivrés sont entre autres la carte d’identité des réfugiés et le titre de voyage des réfugiés.
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Burkina : l'État et le secteur privé s’engagent à favoriser l’inclusion économique des réfugiés









