Dès l'embarquement, les passagers ont été inquiétés par la vérification effectuée par les techniciens avant d'opérer le vol. Des séquences vidéos ont d'ailleurs été filmées et diffusées sur les réseaux sociaux. "C'est cette opération de maintenance que certains se sont permis de filmer", explique le représentant d'Ethiopian Airlines au Tchad.
Le directeur général de l'Autorité de l'aviation civile (ADAC), Brahim Guihini Dadi, a reçu ce vendredi à 17 heures le représentant au Tchad de la compagnie éthiopienne. Il a attiré son attention sur le traitement discourtois des passagers tchadiens et a demandé qu'un bon confort soit accordé aux passagers.
S'agissant des plaintes des passagers tchadiens sur le type d'avion utilisé, la compagnie Ethiopian précise que cela dépend du nombre de passagers à bord. Le nombre de passagers à destination de certains aéroports comme N'Djamena ne peut difficilement garantir un taux optimum de remplissage d'avions gros-porteurs. Ainsi, les compagnies choisissent naturellement d'employer des avions de capacité adaptée au nombre de passagers enregistrés. L'ADAC estime que ce raisonnement est juste.
Le directeur général de l'ADAC rassure les passagers que des inspecteurs assurent en permanence leur mission première de supervision de la sécurité. "Sur cette question de la qualité et vétusté des avions, l'ADAC y veillera", souligne Brahim Guihini Dadi.
Le directeur des normes des vols de l'ADAC a été instruit d'accentuer les inspections de sécurité sur tous les avions étrangers, tous les jours. À l'aide d'une check-list, ils sont chargés de vérifier la bonne application des normes internationales.
L'ADAC encourage les passagers à ne pas hésister à l'informer et l'interpeller sur tout écart constaté durant leurs vols de nature à bafouer leurs droits.
Le directeur général de l'Autorité de l'aviation civile (ADAC), Brahim Guihini Dadi, a reçu ce vendredi à 17 heures le représentant au Tchad de la compagnie éthiopienne. Il a attiré son attention sur le traitement discourtois des passagers tchadiens et a demandé qu'un bon confort soit accordé aux passagers.
S'agissant des plaintes des passagers tchadiens sur le type d'avion utilisé, la compagnie Ethiopian précise que cela dépend du nombre de passagers à bord. Le nombre de passagers à destination de certains aéroports comme N'Djamena ne peut difficilement garantir un taux optimum de remplissage d'avions gros-porteurs. Ainsi, les compagnies choisissent naturellement d'employer des avions de capacité adaptée au nombre de passagers enregistrés. L'ADAC estime que ce raisonnement est juste.
Le directeur général de l'ADAC rassure les passagers que des inspecteurs assurent en permanence leur mission première de supervision de la sécurité. "Sur cette question de la qualité et vétusté des avions, l'ADAC y veillera", souligne Brahim Guihini Dadi.
Le directeur des normes des vols de l'ADAC a été instruit d'accentuer les inspections de sécurité sur tous les avions étrangers, tous les jours. À l'aide d'une check-list, ils sont chargés de vérifier la bonne application des normes internationales.
L'ADAC encourage les passagers à ne pas hésister à l'informer et l'interpeller sur tout écart constaté durant leurs vols de nature à bafouer leurs droits.