Ces assises, convoquées par le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président en exercice de la CEEAC, ont pour thème principal :" Éducation, santé, culture". La Conférence des Chefs d'État et de gouvernement de la CEEAC est l'organe suprême de prise de décisions et de définition des politiques de cette communauté, conformément à l'article 12 du traité révisé de la CEEAC.
En attendant le communiqué final de ces assises de Kinshasa, des indiscrétions laissent entendre que les chefs d’État ont d’adhéré à la feuille de route de Luanda et particulièrement la cessation immédiate des hostilités par les M23 et leur retrait des positions occupées mais aussi, la RDC étant agressée par le Rwanda, étant tous membres de la CEEAC, la guerre par procuration ou par proxi, la CEEAC a adopté une définition de la guerre d’agression. Elle fera partie de l’andendum du pacte de non agression entre États, rapporte la Présidence congolaise.
La 21ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d'État et de gouvernement se tient dans un contexte régional marqué par plusieurs menaces à la paix, la sécurité et la stabilité parmi lesquelles l'on peut citer la flambée des prix des produits de première nécessité dans les Etats membres, suite notamment aux mauvaises campagnes agricoles, conséquence du dérèglement climatique, de la crise sociale, économique et financière lié à la pandémie de la COVID-19 et, plus récemment, aux difficultés d'importation liées à la crise russo - ukrainienne ; la persistance de l'activisme des groupes armés rebelles, des groupes terroristes et autres forces négatives dans la région : la persistance des périls sécuritaires dans la région du Lac Tchad; la persistance de la crise humanitaire due aux déplacements des populations dans plusieurs Etats membres, principalement en conséquence de l'insécurité politico-militaire ; l'usage de la transhumance à des fins criminels désormais identifié comme phénomène d'insécurité émergent dans l'espace CEEAC et la montée de la tension entre la RDC et le Rwanda.
L'objectif général poursuivi par la 21ème session ordinaire est de s'assurer du fonctionnement régulier des institution de la communauté, de contrôler et de suivre la mise en oeuvre des politiques ainsi que les décisions approuvées par les instances communautaires.
Créée le 18 octobre 1983, la CEEAC compte 11 pays membres.
En attendant le communiqué final de ces assises de Kinshasa, des indiscrétions laissent entendre que les chefs d’État ont d’adhéré à la feuille de route de Luanda et particulièrement la cessation immédiate des hostilités par les M23 et leur retrait des positions occupées mais aussi, la RDC étant agressée par le Rwanda, étant tous membres de la CEEAC, la guerre par procuration ou par proxi, la CEEAC a adopté une définition de la guerre d’agression. Elle fera partie de l’andendum du pacte de non agression entre États, rapporte la Présidence congolaise.
La 21ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d'État et de gouvernement se tient dans un contexte régional marqué par plusieurs menaces à la paix, la sécurité et la stabilité parmi lesquelles l'on peut citer la flambée des prix des produits de première nécessité dans les Etats membres, suite notamment aux mauvaises campagnes agricoles, conséquence du dérèglement climatique, de la crise sociale, économique et financière lié à la pandémie de la COVID-19 et, plus récemment, aux difficultés d'importation liées à la crise russo - ukrainienne ; la persistance de l'activisme des groupes armés rebelles, des groupes terroristes et autres forces négatives dans la région : la persistance des périls sécuritaires dans la région du Lac Tchad; la persistance de la crise humanitaire due aux déplacements des populations dans plusieurs Etats membres, principalement en conséquence de l'insécurité politico-militaire ; l'usage de la transhumance à des fins criminels désormais identifié comme phénomène d'insécurité émergent dans l'espace CEEAC et la montée de la tension entre la RDC et le Rwanda.
L'objectif général poursuivi par la 21ème session ordinaire est de s'assurer du fonctionnement régulier des institution de la communauté, de contrôler et de suivre la mise en oeuvre des politiques ainsi que les décisions approuvées par les instances communautaires.
Créée le 18 octobre 1983, la CEEAC compte 11 pays membres.