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POINT DE VUE

Cameroun : Samuel Mvondo Ayolo victime d’une énième cabale


Alwihda Info | Par - 2 Juillet 2021


Une vidéo nauséabonde de l’activiste Patrice Nouma s’attaque à l’honorabilité de l’un des plus proches collaborateurs du président de la République du Cameroun, sur fonds de déclarations éhontées.


Cameroun : Samuel Mvondo Ayolo victime d’une énième cabale
Sur les réseaux, l’on a récemment pu voir le directeur du Cabinet civil de la présidence de la République du Cameroun, Samuel Mvondo Ayolo, en compagnie de Mme Moudiki Nathalie. En réalité, peu de gens savent que Mme Moudiki Nathalie née Engamba n’est rien autre que la cousine de Samuel Mvondo Ayolo. En effet, au Cameroun, les Yetsañ de Messock, et les Yemvak Zoum sont issus du même ancêtre, appelé Esabejañ. Par conséquent, Mme Nathalie Engamba, Yemvack de Zoum, est directement parentée à Samuel Mvondo Ayolo, Yetsañ de Messock.

Cette proximité des deux personnes a suffi pour que, dans une vidéo nauséabonde, Patrice Nouma se permette de traîner dans la boue, le haut serviteur de l’Etat, Samuel Mvondo Ayolo. S’il affirme par cet acte son droit d’indigent intellectuel, s’en prendre par ailleurs à l’épouse du chef de l’Etat, apparait comme un véritable crime de lèse-majesté. S’en prendre à l’honorabilité de la Première dame, c’est évidemment se mettre à dos, l’ensemble des personnes, en majorité des nécessiteux qui bénéficient de la magnanimité de cette dame de cœur, par le biais de ses multiples œuvres caritatives réalisées à travers le Cameroun, depuis plus de deux décennies. Par ailleurs, Nathalie Moudiki est une des femmes de compagnie de la Première dame du Cameroun, et par conséquent, ses faits et gestes sont hautement surveillés.

Cela étant, les attaques éhontées et infondées contre Mvondo Ayolo, deviennent creuses. Pourtant, ce haut commis de l’Etat si combattu, se caractérise, contrairement aux autres qui ont occupé le prestigieux et convoité poste de directeur de Cabinet du président de la République avant lui, par sa simplicité et sa bienveillance. Il s’agit là des qualités qui induisent beaucoup de gens en erreur, sur son sérieux et sa robustesse. Loin s’en faut, pour cet inoxydable.

En réalité, Patrice Nouma fait partie de ces nombreux cabinets noirs, mis à contribution pour décrédibiliser un des plus fidèles collaborateurs du président Paul Biya, et par ricochet, prétendent-ils, celui qui assure la magistrature suprême. N’ayant rien de sérieux à lui reprocher, ils se tournent vers le graveleux. Comme on peut le constater, cette tendance aux attaques « ad-hominem », n’est que l’apanage des petits esprits.

Par contre, les grands esprits débattent sur les idées. Il y a ainsi une panoplie de grands dossiers qui ont un impact sur la santé socio-économique du Cameroun, et qui laissent transparaitre, les difficultés auxquelles le pays est confronté. Pourtant, des sujets peuvent attirer une certaine attention : le franc CFA, la guerre des grandes puissances pour le contrôle des pays africains, le contrôle géostratégique, la prédation économico-financière. Et en bonne place de ces préoccupations majeures, les conditions ayant entrainé la matérialisation mitigée des projets structurants au Cameroun : les barrages hydro-électriques de Memve’ele et de Mekin, le complexe industrialo-portuaire de Kribi, le fer de Mbalam, l’usine des tracteurs d’Ebolawa, entre autres.

Dans le même registre, l’on peut évoquer la gestion de certaines subventions accordées au ministère de l’Economie et celui des Finances, et ayant fait couler beaucoup d’encre et de salive, l’échec retentissant du Document de stratégie pour la croissance et l’emploi (DSCE), et la récente gestion calamiteuse des fonds alloués pour la lutte contre le Covid-19. Ainsi donc, le peu d’intérêt que les commanditaires de Patrice Nouma portent sur ces sujets, est révélateur de leur gêne coupable. Inexorablement, un jour viendra où ils ne pourront plus se cacher derrière le graveleux. Ils devront alors s’expliquer et rendre gorge, pour leurs nombreux crimes économiques contre le peuple camerounais.
Abraham Ndjana Modo
Correspondant Alwihda Info pour le Cameroun Tél: 00 237 677 52 40 66 ; Email: [email protected] En savoir plus sur cet auteur



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